Bouches d'incendie transformées en piscines : Une sous-culture allogène mal digérée par des populations aux origines allogènes !
Publié le 5 Juillet 2015
Ce n'est pas de la " grande " géopolitique , j'aurais voulu écrire sur le lien entre l'Islamisation de la France et le nombre de signalements terroristes , mais ce fait divers ou plutôt ce fait d'été témoigne de la déliquescence intellectuelle et sociétale dans laquelle plonge ( SIC ! ) notre pays .
Le phénomène des bouches d'incendie ouvertes pour créer des piscines dans les rues n'est que le nième témoignage d'une appropriation mal digérée d'une sous-culture allogène , la sous-culture urbaine Afro-Américaine et Portoricaine New-Yorkaise , par des populations issues majoritairement de l'immigration !
La France de l'été 2015 est désormais à l'unisson culturel du lumpenprolétariat Afro-Américain et Portoricain New-Yorkais des années 40 ou 50 : On progresse !
Nota : Selon certains historiens , cette " coutume " daterait de 1919 dans la Bowery .https://ephemeralnewyork.wordpress.com/tag/fire-hydrants-new-york-city-summer/
Bien que les valeurs culturelles soient limitées aux différences culturelles entre les nations , on constate l’existence de différences entre les groupes au sein d’un même pays ( Hofstede 1980,1983 )
Ainsi, on peut identifier au sein d’une société, une culture dominante, non exclusive, à laquelle adhère la majorité, et une ou plusieurs sous- cultures (ou contre-cultures) qui, soit ne se reconnaissent pas ou plus dans les valeurs dominantes, soit les rejettent, les remplaçant par des valeurs ou des croyances singulières.(Goodman 1992).
La sous- culture peut être conceptualisée comme un art de vivre exprimant des pratiques et des moyens différents de la culture dominante (Brake 1985) à travers des signes et des styles facilement reconnaissables et interprétables ( Fox 1987 ; Klein 1986 ; Schouten et McAlexander 1995). Son apparition suppose à la fois la reconnaissance d’une culture globale, générale ou générique, et son opposition à travers un détachement, un désengagement, voire un rejet (Schulter et Mc Alexander 1995). Définie comme un sous élément de la culture nationale, la sous- culture est composée d’une combinaison de situations sociales intégrant les classes sociales, les types de résidence, les affiliations religieuses, les composants ethniques, la langue (cas des pays bilingues ou trilingues Douglas, 1976, Calatone 1985)…qui, ensemble, forment une unité fonctionnelle (Lenartowicz et Roth 2001).