Publié le 27 Octobre 2008
Une petite interruption de quelques jours ( 5 ou 6) pour terminer ma baraque !
Blog initialement consacré à la géopolitique de l'Arctique . Il traite désormais de l'actualité politique , economique , socio-culturelle , historique et militaire et présente des analyses " non conformistes " .Il ne pretend pas à l' " objectivité " mais presente un point de vue alternatif , en opposition avec les pretendues " analyses " syndiquées des " mediats libres " des " democrassies occidentales "
Publié le 27 Octobre 2008
Une petite interruption de quelques jours ( 5 ou 6) pour terminer ma baraque !
Publié le 27 Octobre 2008
MOSCOU, 27 octobre - RIA Novosti. La Russie poursuit les négociations avec l'Islande visant l'octroi d'un crédit à Reykjavik en raison de la crise financière, a indiqué lundi le ministre russe des Finances et le vice-premier ministre Alexeï Koudrine.
"Les négociations se poursuivent", a annoncé M.Koudrine après l'annonce par certains médias d'un refus de la Russie s'agissant de l'octroi d'un crédit à l'Islande.
La Banque centrale d'Islande a déclaré le 7 octobre que la Russie accorderait à Reykjavik un crédit de 4 milliards d'euros. Pour sa part, le ministre russe des Finances Alexeï Koudrine avait précisé que la Russie avait l'intention de satisfaire la demande de prêt présentée par l'Islande, mais que la décision finale ne serait prise qu'à l'issue de négociations.
L'Islande, considérée jusqu'à présent comme l'un des pays les plus prospères au monde, est frappée de plein fouet par la crise financière mondiale et frôle actuellement la faillite. Le gouvernement islandais a pris une panoplie de mesures de stabilisation, nationalisant les banques Kaupthing, Landsbank et Glitnir. Des citoyens et sociétés d'autres pays européens, notamment de Hollande et de Grande Bretagne avaient des comptes dans ces banques.
Publié le 26 Octobre 2008
Publié le 26 Octobre 2008
MOSCOU, 26 octobre - RIA Novosti. Le projet d'embranchement de l'oléoduc VSTO (Sibérie orientale - océan Pacifique) vers la Chine est prêt, a annoncé dimanche le vice-premier ministre russe Igor Setchine.
Avant de lancer le deuxième tour du dialogue énergétique Russie-Chine, M Setchine a fait remarquer que les deux pays étaient tombés d'accord sur la construction d'un embranchement de l'oléoduc entre Skovorodino (région du fleuve Amour, près de la frontière chinoise) jusqu'à la frontière chinoise.
"La compagnie russe Transneft a préparé le projet d'embranchement de l'oléoduc VSTO dont le volet technique est actuellement en passe d'être réglé avec la partie chinoise", a-t-il précisé, ajoutant que l'entreprise russe et le CNPC (China National Petroleum Corporation) devaient entamer des négociations.
L'oléoduc Sibérie-Pacifique, qui aura un débit annuel de 80 millions de tonnes de brut, acheminera le pétrole extrait en Sibérie occidentale et orientale vers les ports russes du Pacifique d'où il sera exporté vers les pays de la région Asie-Pacifique.
La première tranche du VSTO reliant Taïchet (région d'Irkoutsk) à Skovorodino (région du fleuve Amour, près de la frontière chinoise) devrait être achevée fin 2009
Publié le 26 Octobre 2008
Publié le 25 Octobre 2008
Publié le 25 Octobre 2008
La nouvelle " brut de décoffrage " livrée par Reuters
Deux mille personne ont défilé dans la capitale Reykjavik pour demander la démission du premier ministre et du chef de la Banque centrale .
Les manifestatnts réclament des élections anticipées afin d'accelerer le processus d'intégration à l'Ue
REYKJAVIK (Reuters) – Icelanders demonstrated in the capital Saturday to call for resignation of the prime minister and the central bank chief for failing to avert the financial crisis that has crippled the economy.Demonstrators, numbering about 2,000 according to organisers, also demanded that the North Atlantic island take steps to join the European Union soon.People gathered in front of parliament and marched to a government building in the center of Reykjavik where they chanted calls for Prime Minister Geir Haarde and central bank head David Oddsson to resign.
Protesters called for early elections to speed up EU membership.
Iceland's financial system has all but collapsed since the country was forced to take over three of its biggest banks this month.The coalition government, whose term runs out in 2011, is divided on the issue of EU membership, with Haarde's Independence Party opposing it while its junior partner, the Social Democratic Alliance, is in favor.
Protest organiser Kolfinnur Baldvinsdottir told Reuters: "We need elections ... that's the issue to vote for."
Friday, the government said it had agreed terms for a $2 billion aid package with the International Monetary Fund (IMF).
The deal still needs to be approved by the IMF board and Haarde said Friday he expected it would take about 10 days for the review to take place.
(Reporting by Sakari Suoninen; editing by Andrew Dobbie)
Publié le 25 Octobre 2008
"Une mission du FMI et les autorités islandaises sont parvenues aujourd'hui à un accord +ad referendum+ (dont les détails restent à déterminer, ndlr) sur un programme économique soutenu par un prêt d'environ 2,1 milliards de dollars", a déclaré le directeur général de l'institution Dominique Strauss-Kahn dans un communiqué.
"L'accord pourrait être présenté au conseil exécutif du FMI pour être approuvé début novembre", a poursuivi M. Strauss-Kahn, précisant qu'après approbation, l'Islande obtiendrait immédiatement 833 millions de dollars.
Le FMI avait annoncé le 6 octobre avoir envoyé une mission dans le pays nordique alors que l'économie de celui-ci, très dépendante du secteur bancaire, était au bord de la faillite et que sa devise s'était effondrée (152 couronnes pour 1 euro).
Lors d'une conférence de presse à Reykjavik vendredi, le chef de la mission du FMI, Paul Thomsen a précisé que le pays nordique devrait obtenir quatre milliards supplémentaires de la part de pays tiers.
"Pour la période de deux ans, le paquet d'aides est d'environ six milliards de dollars dont quatre milliards provenant d'autres pays", a-t-il dit, sans dévoiler le nom des Etats concernés.
Une source proche a toutefois indiqué à l'AFP qu'une délégation des Etats-Unis était arrivée vendredi à Reykjavik et qu'une délégation norvégienne avait quitté l'Islande jeudi.
"Ce programme nous permettra d'assurer le financement et d'accéder à l'expertise technique nécessaire pour stabiliser la couronne islandaise et contribuer au développement d'un système financier plus sain", a commenté le Premier ministre islandais Geir Haarde, dans un communiqué séparé.
Lors d'une conférence de presse, il a précisé que l'une des conditions était que l'Islande rembourse ce prêt entre 2012 et 2015.
"L'Islande oeuvre pour un programme économique ambitieux qui vise à restaurer la confiance dans le système bancaire, à stabiliser la couronne via des politiques macro-économiques fortes", a relevé le directeur général du FMI.
Le pays des geysers avait fondé une partie de sa croissance sur celle d'un secteur financier très actif à l'étranger.
Alors que le secteur financier a été privé en quelques semaines des capitaux étrangers en raison de la crise financière, le gouvernement avait choisi la méthode forte.
Se dotant le 6 octobre d'un arsenal législatif sans précédent en Europe conférant à l'Etat la possibilité de diriger l'ensemble du secteur bancaire, il avait ensuite pris le contrôle des trois grandes banques du pays: Glitnir, Landsbanki, enfin Kaupthing, aujourd'hui nationalisées, provoquant la stupeur dans les milieux d'affaires et donnant le coup de grâce à la confiance dans l'économie de l'île.
Le gouvernement avait alors appelé au secours Moscou avec qui il négocie toujours l'octroi d'un prêt.
M. Haarde a indiqué vendredi que les discussions en cours avec la Russie portaient désormais sur un montant inférieur aux 4 milliards d'euros initialement évoqués.
Il a ajouté que des contacts avaient été pris avec les banques centrales nordiques.
L'Islande, petite île de 320.000 habitants et non membre de l' Union Européenne , était avant la crise l'un des Etats les plus riches de l'Organisation de coopération et de développement économiques.
Au cours des 10 dernières années, la croissance a grimpé en moyenne de 4% par an avec un pic de 7,7% en 2004.
L'an passé, elle était encore de 4,9%.
Mais "nous nous attendons à ce que le PIB se contracte de 10% l'année prochaine", a prévenu Paul Thomsen .
Source : AFP .
Publié le 25 Octobre 2008
Publié le 25 Octobre 2008