Publié le 26 Avril 2013
Publié le 25 Avril 2013
Publié le 24 Avril 2013
Publié le 24 Avril 2013
- Manpads IGLA
- Systéme Buk-2ME
- Systéme S-125 Pechora-2M
- Systéme S-300VM Antey-2500
Publié le 24 Avril 2013
Publié le 19 Avril 2013
La réunion extraordinaire de l' UNASUR qui s'est tenue hier soir à Lima a confirmé le soutien de l'organisation au président élu Nicolas Maduro à la veille de son investiture . [ lien ] Cette réunion aura fait les victimes collatérales suivantes :
1- Henrique Capriles-Radonsky . Aprés avoir envisagé un moment de se rendre à Lima [ lien ] , il a été sommé par l'organisation de se conformer aux décisions du CNE .[ point 2 -Lien ] M.Capriles ne peut que faire bonne figure et accepter l'audit - des votes electroniques et non pas un recomptage manuel - des urnes restantes par le CNE . L'UNASUR a validé la décision du CNE Venezuélien .
2- L' OEA qui au contraire de l'UNASUR avait émis des des doutes sur le scrutin du 14 avril au Venezuela . Désormais l'UNASUR devient la seule structure pertinente pour gérer les crises en Amérique du Sud . [ lien ] Les publicistes , folliculaires , gazetiers , analystes et géopolitologues , majoritairement Français , qui remettaient en cause la pertinence et la légitimité de cette organisation en resteront toute honte et incompétence bue une fois de plus le cul merdeux .
3- La diplomatie Etasunienne dont la voix ne porte plus dans " l'arrière-cour "
4- Mario Vargas Llosa qui avait demandé à l'UNASUR de ne pas reconnaître l'élection de Nicolas Maduro et qui avait appellé hier à l'organisation de nouvelles élections au Venezuela sous la supervision de la " communauté internationale " . [ lien ] A force de vouloir de se mêler de tout , cet écrivain de talent démonétise sa parole . Qu'il se rassure ! Il se trouvera quand même un éditorialiste de " Libé " , " Le Monde " ou " Le Figaro " pour relayer son appel !
Declaración de Cumbre Unasur sobre Venezuela
Texto de la Declaración del Consejo de Jefes y Jefas de Estado y de Gobierno de la Unión de Naciones Suramericanas:
PRIMERO. El consejo de Jefes y Jefas de Estado y de Gobierno de Unasur reunidos en sesión extraordinaria en Lima expresa su felicitación al pueblo venezolano por su masiva participación en la elección presidencial el 14 de abril último que ratifica su vocación democrática y saluda al presidente Nicolás Maduro por los resultados de los comicios y su elección como presidente de la Republica Bolivariana de Venezuela.
SEGUNDO. Insta a todos sectores que participaron en el proceso electoral a respetar los resultados oficiales de la elección presidencial emanados del Consejo Nacional Electoral (CNE), autoridad venezolana competente en la materia.
TERCERO. Ratifica en la línea de lo señalado en la Declaración de la Misión Electoral de Unasur a Venezuela del 15 de abril último, que todo reclamo cuestionamiento o procedimiento extraordinario que solicite alguno de los participantes del proceso electoral deberá ser canalizado o resuelto dentro del ordenamiento jurídico vigente y la voluntad democrática de las partes. En tal sentido, toma nota positiva de la decisión del CNE de implementar una metodología que permita la auditoría total de las mesas electorales.
CUARTO. Hace un llamado a deponer toda actitud o acto de violencia que ponga en riesgo la paz social del país y expresa su solidaridad con los heridos y las familias de las víctimas fatales del 15 de abril del 2013. Invoca asimismo, al diálogo y a contribuir a preservar un clima de tolerancia en beneficio de todo el pueblo venezolano.
QUINTO. Acuerda la designación de una comisión de Unasur para acompañar la investigación de los hechos violentos del 15 de abril de 2013
Publié le 18 Avril 2013
Source : Le Journal de guerre d' Igor Korotchenko [ lien ]
Publié le 16 Avril 2013
Les mediats Français restent curieusement discrets sur la bataille autour du gisement de minerai de fer de Simandou en Guinée . Et pour cause , les personnes impliquées constituent un véritable inventaire à la Prévert : Soros , Benny Steinmetz un milliardaire Franco-Israélien proche du gouvernement Français et " protégé " par la diplomatie impérialiste Française , un ancien conseiller Rhodéso-Africain du gouvernement Britannique et de la Banque Mondiale , ......La justice Etasunienne , cad en fait le gouvernement Etasunien , vient de mettre son nez dans le dossier en arrêtant Frédéric Cilins, un employé de nationalité française de la compagnie BSGR . Il a été arrêté dimanche en Floride pour obstruction à la justice dans une enquête sur des pots de vin et du blanchiment d'argent en Guinée, a annoncé lundi le procureur fédéral de Manhattan. [ lien ] Pour une fois qu'elle fait son travail , je ne peux que la féliciter ! Le site Guinéenews a résumé l'affaire ! [ lien ]
Cette affaire résume la nouvelle politique des puissances occidentales en Afrique qui ne se feront pas de cadeaux entre-elles pour le contrôle des ressources Africaines . Si l'Occident semble uni contre les BRICS - Ici le Brésil - il n'en reste pas moins que France , Angleterre et USA ne semblent pas prêts à s'entendre pour partager les dépouilles et le destin de Fréderic Cilins montre que malgré tout son " expérience de l' Afrique " , la France va être le dindon de la farce dans ses aventures impérialistes !
Le dossier du plus grand gisement de fer non exploité du monde - situé en Guinée - continue à faire les manchettes des journaux anglosaxons. Benny Steinmetz, le milliardaire franco-israélien propriétaire de BSGR a porté plainte pour diffamation devant une Cour de Justice de Londres, en Angleterre contre le baron Mark Malloch-Brown (sur la photo tirée du site web de sa firme), un proche de Georges Soros, le conseiller attitré du président guinéen Alpha Condé.
Selon la plainte - dont Guinéenews.org a lu la copie - la compagnie BSGR de Benny Steinmetz a embauché en mai 2009 la firme de relations publiques FTI Consulting pour faire sa promotion dans le dossier de Simandou dont la Guinée avait accordé une concession de la moitié nord reprise des mains de Rio Tinto. Après avoir cherché sans succès un financement pour exploiter le gisement, BSGR a vendu en Avril 2010 pour 2.5 milliards dont 500 millions cash 51 pour cent du projet au géant minier brésilien Vale. Une entente fut négociée avec la junte militaire de l'époque pour évacuer le minerai vers le Libéria en échange de la réhabilitation du chemin de fer de Conakry-Kankan pour un coût de 1 milliard de dollars.
Puis en décembre 2010, Alpha Condé vint au pouvoir en Guinée et l'année suivante l'entente citée plus haut est rescindée- le nouveau président Guinéen exigeant la revue de tous les contrats miniers, ordonna l'arrêt des travaux de réfection du chemin de fer inauguré en fanfare par l'ancien président brésilien Lula. Parallèlement Georges Soros, le milliardaire hongro-américain devient le conseiller d'Alpha Condé et met à sa disposition des «conseillers» pour l'assister dans les négociations avec les miniers.
En avril 2011, BSGR et FTI renouvellent leur contrat de Relations Publique pour entre autre «sauvegarder la réputation de BSGR dans le projet de Simandou». Il y a moins de 6 mois en novembre 2012, FTI annula tout d'un coup son engagement de représentation de BSGR. En même temps la presse spécialisée faisait état d'accusations selon lesquelles que BSGR aurait obtenu sa concession par voie de corruption d'une des femmes de l'ex président guinéen Lansana Conté.
BSGR accuse FTI d'avoir fait double jeu car selon elle un des dirigeants de la firme de relations publique, Mark Malloch-Brown, un ancien ministre britannique sous Gordon Brown le successeur de Tony Blair - un autre «conseiller en bonne gouvernance» d'Alpha Condé avait un conflit d'intérêt évident en ce sens qu'il entretenait des «relations étroites» avec Georges Soros et ses ONGs qui opéraient en Guinée et qui ont financé la révision des contrats miniers. Steinmetz accuse Malloch-Brown d'avoir fait pression sur FTI de se retirer du contrat afin que Soros puisse atteindre son objectif de faire déposseder Steinmetz de Simandou. Malloch-Brown est aussi accusé d'avoir organisé des fuites de dossiers confidentiels et finalement d'avoir favorisé une campagne de diffamation en insinuant que Benny Steinmetz serait à l'origine d'un attentat contre la résidence du président Guinéen. Attentat dont le procès se déroule actuellement à Conakry et qui a révélé une justice incompétente et des accusations invraisemblables contre les personnes citées.
Benny Steinmetz, âgé de 53 ans, est un milliardaire qui a fait fortune dans le diamant est réputé pour son appétit des affaires dans les pays troubles à haut risque, tels que la RDC, Sierra Leone, la Guinée, le Kosovo, et la Birmanie. De nationalité française et israélienne, Benny Steinmetz bénéficie de tous les droits et privilèges que l'État Français accorde à ses citoyens dans les affaires commerciales. Il est appuyé par de puissants réseaux politico-militaires et affairistes en Israël, en Europe, et aux États-Unis. Au Congo, Benny s'est associé à travers les sociétés Nikanor et Katanga Mining, à des personnages controversés tels que Dan Gertler et Georges Forest qui furent cités dans un rapport des Nations Unies sur le financement de la guerre civile et le bradage des ressources minière du pays. C’est a la faveur de l’atmosphère de fin de règne du régime Conté 2006 que Benny se rend en Guinée pour rafler la moitié de la concession initiale de Rio de sur le Mont Simandou. A la mort de Conté, Benny a été accusé d'avoir mis Dadis en rapport avec Israël Ziv, patron de la société privée Global CST et ancien commandant des forces spéciales d’Israël. Benny Steimetz a catégoriquement nié ces accusation. Pour 10 millions de dollars, Dadis et Israël Ziv ont tout de même conclu un accord pour former sa garde prétorienne et sa milice ethnique à Kalia dans la région de Forécariah. Même après la répression sanglante du 28 Septembre 2009, il aura fallut lea forte pression des américains et des francais sur le gouvernement israélien et l’arrivée de Konaté après l'attentat sur Dadis par Toumba pour démanteler le dispositif de formation des milices.
Mark Malloch-Brown est un Sud Africain d'origine qui a eu une partie de son enfance en Rhodésie - Zimbabwé actuel - (une information qu'il cache sérieusement dans sa biographie officielle) et a occupé de hautes fonctions à la Banque mondiale, aux Nations Unies et au sein du gouvernement britannique. Il a fait l'objet de plusieurs critiques notamment d'avoir logé dans un appartement de Soros à New-York alors qu'il était aux Nations Unies. Présentement il est membre du Comité Exécutif de l'ONG International Crisis Group et est dirigeant de la firme de relations publiques contre laquelle BSGR a porté plainte. Mark Malloch-Brown est aussi membre du Forum de Davos, une conférence à laquelle le président guinéen Alpha Condé a été invité deux années de suite depuis son arrivée au sommet de l'état Guinéen.
Georges Soros est un milliardaire qui a fait fortune dans la spéculation financière et soutien à travers son ONG «OSI - Open Society Institut» des mouvements de « changement de régime » dans plusieurs pays du monde. Son intérêt vers la Guinée est accru depuis l'arrivée d'Alpha Condé au pouvoir en Guinée. Soros avait promis lors de sa première visite en Guinée en 2011, d'aider les nouvelles autorités à résoudre le problème d'électrification de la capitale dans « six mois». Malgré le fait que la Banque Mondiale soit l'institution spécialisée dans l'aide à la restructuration et semblait prête à assister le nouveau gouvernement civil, le président Alpha Condé aurait préféré contractéer au nom de la Guinée, un prêt auprès de Georges Soros à travers ses ONGs pour élaborer le premier code minier guinéen. Ce code minier eu plutot l'effet inverse de faire fuir plusieurs grand investisseurs miniers.
Enseignements à tirer pour la Guinée
Selon les observateurs dans ce combat de titans, la Guinée se doit de faire les constats suivants, prendre acte, et réajuster sa politique envers le secteur minier.
Échec de l’approche affairiste du Professeur et de son fils : au lieu de créer un environnement mutuellement gagnant pour son régime, les Guinéens, et les potentats qui le soutiennent, le Professeur a réussi à emmêler les pinceaux et à faire perdre tout le monde. Pas d’affaires pour ses soutiens, pas de gros sous pour son parti, pas d’emploi ou d’espoir pour les guinéens.
Échec de l’aide intéressée de George Soros, Tony Blair et autres : la plus grande contribution supposée de ces grands noms est d’aider le Professeur à instaurer la bonne gouvernance du secteur minier. Or c’est tout le contraire qui s’est produit : arrangements opaques, deals secrets, revue des contrats miniers influencée par des intérêts mafieux, code minier si mauvais qu’il a fallu faire une relecture et amender une quarantaine d’articles en mois de deux ans de rentrée en vigueur (du jamais vu!)
Gel du développement minier : Un proverbe africain dit : « quand deux éléphants se battent, c’est l’herbe qui en souffre ». Les gesticulations du gouvernement sur les retombées des amendements du Code minier sont utopiques. Même avec un taux d’imposition deux fois inferieur au taux actuel, le climat des affaires est si pourri que les investisseurs sérieux ne mordront pas. Il y a le climat social qu’il faut apaiser, mais il faudra aussi assainir la pagaille imposée au secteur minier autours de deux dernières années. Pire, ce combat de titans sur le sol guinéen gèle de facto les investissements sur le Simandou.
En attendant il faut esperer que la bonne gouvernance et le developpement de l'agriculture et la petite et moyenne industrie consitueront une priorité du gouvernement d'Alpha Condé car les mines, il faut s'en méfier comme le disait le défunt président Guinéen Lansana Conté ...
Publié le 16 Avril 2013
Publié le 16 Avril 2013
Les élections présidentielles au Venezuela ont donné une courte avance , mais une avance quand même , au candidat Chaviste Nicolas Maduro . Dans ces conditions sa légitimité reposait sur deux piliers : La décision du Conseil National Electoral et la reconnaissance par des puissances étrangères .Trois états à des degrés divers ont su faire preuve de " courage géopolitique " en apportant dés le début leur soutien au Président Maduro .
1- La Russie : Le Président Russe Vladimir Poutine a appellé au téléphone dés la fin du scrutin et la proclamation des résultats partiels Nicolas Maduro pour le féliciter de sa victoire [ lien ] tandis que dans un communiqué le MAE Russe appelait tous les candidats à respecter la décision du CNE . Au travers de ce communiqué la Russie se rangeait explicitement aux côtés de M. Nicolas Maduro et contre Henrique Capriles dans le différend qui les oppose sur un recomptage manuel des voix . "Nous appelons toutes les forces politiques du Venezuela, pays ami, à respecter la volonté exprimée par les électeurs, à faire preuve de responsabilité et de pondération, en accueillant les résultats du scrutin", lit-on dans la déclaration de la diplomatie Russe.[ lien ]
2- La Chine : Le président Chinois Xi Jinping a félicité dés lundi , aussitôt les premiers résultats publiés , Nicolas Maduro pour sa victoire à l'élection présidentielle Vénézuélienne.
Dans son message à M. Maduro, M. Xi a indiqué que les relations sino-vénézuéliennes avaient connu un développement remarquable depuis l'établissement du partenariat stratégique de développement commun entre les deux pays.
"La Chine et le Venezuela sont devenus de bons amis qui se font confiance et de bons partenaires qui coopèrent étroitement", a-t-il noté, ajoutant que la Chine était prête à travailler de concert avec le Venezuela pour renforcer leurs liens.[ lien ]
Les soutiens Russes et Chinois à M. Maduro sont parfaitement compréhensibles ! M. Capriles Radonski n'avait jamais caché qu'il comptait réorienter la diplomatie Vénezuelienne de Pékin et surtout Moscou vers l' "Occident" , surtout sur les questions liées aux hydrocarbures et aux achats d'armes . [ lien ]
Le " courage géopolitique " de Moscou et Pékin c'est d'avoir jetté aux oubliettes de l'histoire la Doctrine Monroe . On a beau triturer la question dans la tous les sens , la Russie et la Chine sont intervenus dans le processus électoral Venezuelien et ceci avant la déclaration de l' OEA , de l' UNASUR [ qui appuie M. Maduro ] et surtout celle du Département d'Etat .
.3- Le Brésil : Les chefs politiques Brésiliens sont ceux qui avaient le plus à perdre d'un soutien à Nicolas Maduro en cas de scrutin serré et surtout contesté par M. Capriles . [ lien vers article ] Dans les semaines qui ont précédé l'élection présidentielle Vénezuelienne des diplomates du Departement d' Etat ont même rencontré des diplomates de l' Itamaraty pour " coordonner " la diplomatie Etasunienne et la diplomatie Brésilienne face à la transition au Venezuela . [ lien ] [ lien ] ** Etat pivot de la diplomatie en Amérique du Sud , le Brésil était de nouveau sollicité pour jouer le game changer et était même considéré à Washington comme un soutien essentiel d'un Capriles élu Président Vénézuelien . [ lien ] Comme toujours la menace était à peine voilée : Le Brésil devait se montrer " responsable" avec pour " récompense " un éventuel siège de membre permanent au Conseil de Sécurité de l'ONU *. [ lien ] En matière de " coordination " on aura vu mieux ! Alors que le Département d' Etat réclamait le recomptage manuel des suffrages , la Présidente Dilma Rousseff félicitait le Président Nicolas Maduro et mettait en avant la transparence des élections ... [ lien ] Une fois de plus et comme sur les dossiers Syrien ,Paraguayen et Hondurien la diplomatie Brésilienne n'a pas cédé au chantage et a même eu une attitude pro-active face aux postures Occidentales .Il est même fort probable que la diplomatie Brésilienne a exercé à l'annonce des résultats des élections présidentielles au Venezuela un lobbying pour que l' UNASUR- UNASUL se désolidarise , une fois de plus comme sur le dossier Parguayen , de l' OEA . [ lien ] Le MAE Antonio Patriota dont les services devaient " coordonner " avec la diplomatie Etasunienne la réponse à apporter face aux élections Venezueliennes vient d'en souligner l' " esprit démocratique " ! [ lien ] Ce soutien au Président Maduro vient en tout cas infirmer toutes les " analyses " sur une distanciation des chefs politiques Brésiliens vis à vis du " Chavisme " [ lien ] La Présidente Dilma Rousseff va t'elle en payer le prix ( géo)politique lors des élections présidentielles de 2014 avec la candidature de la passionaria Khmerverde Marina Silva ?
** A Casa Branca e o Departamento de Estado estão conversando com Brasília sobre a transição venezuelana e já notaram a mesma preocupação brasileira com a legitimidade do processo eleitoral e com inevitável fragilidade de seu faturo governo .
*With new elections now required in Venezuela we have an opportunity to see if there has been a real change in Brazil's regional foreign policy to advancing substantive democracy or if the Lula-era tradition of selectively advocating a brand of pro-leftist democratic outcomes remains in place .Nota : Analyse censurée sur Libération .