Publié le 21 Février 2016
Publié le 17 Février 2016
C'est par manque de temps que je n'ai pas pu écrire cet article le 13 novembre 2015 . C'est un article de Libération qui m'incite à en poser les premières lignes .
Cet article de Libération montre sous la forme d'un diagramme social les interconnexions entre les protagonistes des divers attentats qui ont frappé la France ces dernières années .
Lien : http://www.liberation.fr/apps/2016/02/un-an-de-connexions-terroristes/
Or les deux premières questions que l'on devrait se poser sont : Comment ces interconnexions ont elles pu s'établir et comment n'ont elles pas été repérées par la population et les services de sécurité ?
La réponse a été donnée il y a quelques années - 12 ans - par un physicien Français au travers de la théorie de la percolation statistique appliquée à la propagation du terrorisme .
La percolation (du latin percolare, « filtrer », « passer au travers ») désigne communément le passage d'un fluide à travers un milieu plus ou moins perméable, par exemple dans la préparation du café.
Ce terme a aussi un sens plus précis en physique et en mathématiques : c'est un processus physique critique qui décrit, pour un système, une transition d’un état vers un autre. C'est un phénomène de seuil associé à la transmission d'une « information » par le biais d'un réseau de sites et de liens qui peuvent, selon leur état, relayer ou non l'information aux sites voisins.
Dans son article du 12 avril 2004 , From Percolation to Terrorism, Guerilla Warfare and Clandestine Activities [ Lien : http://arxiv.org/abs/cond-mat/0404265 , le physicien Serge GALAM montre comment à l'instar d'une goutte de liquide se frayant un passage dans un milieu solide plus ou moins poreux , les terroristes peuvent prospérer sans être inquiétés et surtout se déplacer géographiquement pour frapper .
La société est modélisée par des cellules qui sont plus ou moins favorables ou indifférentes , hostiles à l'idéologie des terroristes . L'étude de la perméabilité du milieu social permet de déterminer l'étendue des territoires sur lesquels les terroristes peuvent évoluer et sévir , tout comme une goutte de liquide peut se déplacer . Le terme perméabilité est pris ici au sens du libre passage accordé à un terroriste : il résulte de l'adhésion passive à la cause terroriste d'une partie de la population, sans connivence directe. Dans la plupart des cas, ces supporters passifs réprouvent l'action terroriste proprement dite, mais leur sympathie pour la cause défendue fait qu'ils ne s'opposeront pas à un mouvement de terroriste, et qu'ils ne le dénonceront pas.
Dans notre modèle, nous considérerons que chaque personne occupe et observe une certaine portion de territoire, sa « case », indépendamment les unes des autres. La personne peut être vigilante vis-à-vis du terrorisme ou non : si elle est vigilante, sa case ne peut être franchie par les terroristes. Pour qu'il réussisse, le terroriste doit atteindre son objectif, c'est-à-dire trouver un chemin continu de cases non surveillées.
L'immense majorité des supporters passifs ne sera jamais confrontée au passage d'un terroriste : ces sympathies individuelles sont dormantes et il est pour cela difficile de les identifier. Aléatoirement répartie sur un territoire donné, l'agrégation géométrique des cases crée, par simple juxtaposition adjacente, les amas de cases perméables au mouvement terroriste et détermine l'ensemble des cibles accessibles à l'action terroriste ; aussi l'évaluation du degré de perméabilité d'un milieu social donné est incontournable dans toute tentative de résolution du problème.
Lien : http://www.pourlascience.fr/ewb_pages/a/article-terrorisme-et-percolation-24347.php
En France ce seuil de perméabilité sociale - % de la population Française - au terrorisme Islamiste a été franchi depuis longtemps et ce pour deux raisons principales :
1- L'existence de zones à forte concentration de populations immigrées de confession Musulmane où les terroristes bénéficient d'un soutien passif par solidarité communautaire , d'origine migratoire et religieuse , voir même familiale . La famille s'entendant ici comme la famille élargie aux cousins et alliès au nième degré et à leurs parents .
2- La peur des populations autochtones de souche Chrétiennes de se voir stigmatiser , voir poursuivie en justice , en cas de dénonciation d'une personne issue d'une " minorité visible " . Cette peur est liée à la diffusion par les mediats et l'état , et ce dés la prime enfance , d'une idélogie mortifère qui stigmatise et culpabilise le roman national et qui fait de l'étranger és qualité - surtout s'il est basané et de confession non Chrétienne - un être paré de toutes les vertus .
La destruction des réseaux sociaux des terroristes Islamistes , empêcher ces terroristes d'évoluer comme " un chameau dans le désert " - ou comme un poisson dans l'eau - décrits par Libération passe donc par la diminution du nombre de personnes susceptibles de laisser " percoler " ces terroristes au sein de notre société .
1- Il faut arrêter l'immigration Africaine qui a fourni la quasi-totalité des terroristes Français . Il faut empêcher l'arrivée de tout migrant légal , réfugié politique ou autre en particulier des régions soumises à l'idéologie Islamiste .
Il faut aussi expulser sans seuil d'âge les primo-délinquants , délinquants , criminels patentés et complices passifs ou actifs - aprés les avoir déchus de la nationalité Française - du trafic de drogue , d'armes ou des réseaux de prostitution ou de racket . Ce sont ces réseaux criminels qui fournissent les appuis logistiques au terrorisme Islamiste .
2- Il faut réapprendre à nos populations la " peur de l'étranger " et la rendre fière de son roman national ! Cette dernière mesure évitera en particulier la " conversion " de Français "de souche " au terrorisme Islamiste .
Publié le 13 Février 2016
Quel est le point commun entre ces deux photos ?
Réponse : La présence d'un Jésuite !
Publié le 9 Février 2016