Publié le 28 Avril 2011

La révolution mange ses enfants !

 

Les forces du président ivoirien Alassane Ouattara ont tué mercredi soir l'ex-putschiste Ibrahim Coulibaly, dit «IB», chef du «commando invisible» dans le nord d'Abidjan, qui était perçu comme une menace par le pouvoir même s'il avait contribué à la chute de Laurent Gbagbo.

IB a pris une famille en otage avant d'être tué

Plusieurs centaines de membres des Forces républicaines de Côte d'Ivoire (FRCI), équipés de pick-up surmontés de mitrailleuses lourdes et de lance-roquettes, ont lancé mercredi matin une attaque d'envergure contre le fief d'«IB» dans le quartier populaire d'Abobo (nord), a constaté l'AFP. Après cette «opération de sécurisation et de pacification», «IB est allé se réfugier dans une cour (d'habitations) non loin d'une usine à PK-18 (secteur nord d'Abobo)», a déclaré à l'AFP le capitaine Léon Kouakou Alla, porte-parole du ministère de la Défense.

Dans cette cour, Ibrahim Coulibaly «a pris en otage toute une famille. Les FRCI ont effectué des tirs de sommation à deux reprises et il a réagi avec des tirs nourris. Les FRCI n'ont eu d'autre choix que de riposter, et la riposte lui a été fatale», a ajouté le porte-parole. L'affrontement qui a eu lieu vers 20h (22h heure française) a fait «deux soldats tués et plusieurs blessés» côté FRCI, et «sept morts» dans le camp adverse, dont «IB» lui-même, a-t-il précisé.

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Rédigé par DanielB

Publié dans #Interventions coloniales en Afrique

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Publié le 27 Avril 2011

Le conflit Libyen se métastase jusqu'au ... Caucase Russe !

Alors qu'un groupe de Tcherkesses- Circassiens  résidants dans la République Caucasienne Russe de Kabardino- Balkarie a envoyé un message de soutien à l'ambassadeur de Libye à Moscou lui assurant son soutien à la résistance du colonel Mouammar Kadhafi et lui proposant même une aide militaire , des " Tcherkesses de Californie " ont dénoncé le " massacre des Tcherkesses de Misruta" .

On s'étonne de pouvoir encore s'étonner !

Source : Добровольцы из Кабардино-Балкарии предложили ливийским черкесам помощь в военном конфликте

 

 

Господину Муаммару бен Мухаммед Абу Меньяр Абдель Салям бен Хамид аль-
Каддафи

От черкесов Кавказа.

Многоуважаемый Братский лидер и руководитель первосентябрьской Великой
революции Социалистической Народной Ливийской Арабской Джамахирии

В этот судьбоносный час, когда решается судьба независимости и самого
существования Ливийской Джамахирии, Вы являетесь примером для
подражания всем свободным людям мира.

Злобные интриганы, направляемые ненасытными транснациональными
корпорациями, испытывают прочность государственности Ливии и стойкость
и свободолюбие его граждан.

Даже Ваши ближайшие соседи предали Вас, поддавшись страху повторить
разделить судьбу Ливии. А человек, использовавший в корыстных целях
Вашу дружбу, теперь бомбит Вашу страну, чтобы не расплачиваться за
долги.

Мы обращаемся к Вам с заявлением полной и безоговорочной поддержки
курса Ливийской революции и Вашей позиции по защите своей страны.

Мы просим Вас - разрешить прибыть в Вашу страну, чтобы с оружием в
руках встать на защиту независимости Ливии.

Много лет назад Ливия стала пристанищем для наших соплеменников -
черкесов, потомки которых до сих пор живут там. И нам бы хотелось хоть
малым вкладом отплатить Вашей стране за доброе отношение к черкесам -
нашим братьям.

Мы верим, что враг будет разбит и солнце свободы вновь засияет над
Ливией!

Долгих Вам лет и Победы над врагом. Свободу Ливии!

Маржэ! Адыга-уей-уей!!!

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Rédigé par DanielB

Publié dans #psyops - guerre secrête

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Publié le 26 Avril 2011

A l'heure ou les  feux de l'actualité convergent vers la Syrie et ou certains universitaires juifs sionistes comme Mordechaï Kedar en appellent au " démembrement " de la Syrie et des états arabes selon des critères ethniques - cercles proches d'ailleurs de l'activiste juif sioniste  Avraam Schmoulevitch qui prône l'expulsion de la Russie hors du Caucase et qui soutient les groupes terroristes Caucasiens  -  il est bon d'évoquer l'existence - consciensieusement occultée par les mediats - du Parti Social Nationaliste Syrien .

Celui-ci est issu d'une particularité puisque son corpus doctrinal n'est pas une iédologie mais est basé sur un projet géopolitique : La " Grande Syrie " . Géopolitique est à prendre ici au sens restreint du terme puisque dans son livre " La genèse des Nations " , Antoun Saadé le fondateur du PSNS décrit le processus de formation de la " Nation Syrienne " comme d'une alchimie entre les hommes et leur environnement géographique .

« La nation résulte non de l'origine ethnique commune, mais du processus unificateur du milieu social et physique ambiant. L'identité des Arabes ne provient pas du fait qu'ils descendraient d'un ancêtre commun, mais qu'ils ont été façonnés par le milieu géographique : le désert de l'Arabie, l'Assyrie pour la Syrie, le Maghreb... »

  

  

 

 

  C'est une vision " Vidalienne " de la Grande Nation Arabe Syrienne qui est encore de nos jours  un OVNI idéololgique dans ce monde Arabe  .



Christian Bouchet a consacré avec prémonition un article au PSNS au début de ce mois d'avril . Avant de vous inviter à lire cet article , je vous conseille aussi de vous reporter à une personnalité controversée mais qui a publiè il y déja une dizaine d'années  un excellent ouvrage sur la question Syrienne et plus particulièrement l'abandon du Sandjak d'Alexandrette à l'impérialisme Turciste en 1938 : Lucien Bitterlin et  : Alexandrette : Le « Munich » de l’Orient

 

 

En effet, la Syrie est un pays qui organise régulièrement des élections et où agissent au grand jour neuf partis politiques. Si le parti nationaliste panarabe Baas domine l’ensemble de la vie politique syrienne, il le fait en coalition, au sein d’un Front national progressiste, avec d’autres partis qui sont le Mouvement des socialistes arabes, deux Partis communistes syriens, l’Union socialiste arabe, l’Union démocratique arabe, le Parti unioniste socialiste, le Parti unioniste socialiste démocratique et le Parti social-nationaliste syrien.

 

Deux caractéristiques doivent être notées. Tout d’abord, afin de préserver l’unité de la nation et de respecter sa laïcité, les partis confessionnels ou ethniques sont interdits, ensuite, ne furent autorisés, de la création du FNP en 1972 jusqu’à un date récente, que des partis « de gauche » et nationalistes arabes.

 

Or la situation a changé en 2005 avec la légalisation et l’entrée au sein du Front national progressiste du Parti social-nationaliste syrien. Une étrange organisation dont les membres se saluent le bras tendu et arborent un insigne qui ressemble curieusement à un croix gammée… Un parti qui porta aussi, dans les années 1930, le nom de Parti populaire syrien et qui fut décrit par François Duprat comme « la tendance la plus authentiquement fasciste du mouvement nationaliste arabe ».

 

Le parti de la Grande Syrie

 

Créé en 1932, par Antoun Saade, un instituteur libanais de confession grecque orthodoxe, le Parti social-nationaliste syrien s’est caractérisé par le fait que, contrairement aux organisations politiques fondées par d’autres intellectuels chrétiens à la même époque, il n’était ni nationaliste libanais comme le Parti phalangiste de Pierre Gemayel ni nationaliste arabe comme le Baas de Michel Aflak (1). Tout au contraire, le PSNS militait pour la formation d’une « Grande Syrie », englobant outre ce pays, l’Irak, la Jordanie, le Liban, la Palestine et Chypre dont, selon ses vues, « les habitants forment une seule et unique nation ».

 

Créé en réaction aux tentatives françaises de faire éclater la Syrie en plusieurs États: Syrie, Liban, territoire des alaouites, djebel druze, le PSNS ne cachait pas ses sympathies pour le IIIème Reich et fut immédiatement soupçonné d’être en contact étroit avec les services d’espionnage allemands. Durant la deuxième guerre mondiale, ces sympathies lui valurent d’être interdit à deux reprises – sous Daladier puis sous Pétain - par le gouvernement français qui goûtait peu sa propagande anti-française. Après la conquête de la Syrie par les forces anglo-gaullistes, l’administration mise en place par le général De Gaulle s’inquiéta à son tour de l’action du parti. À juste titre, car lors des graves troubles de 1943 et 1945, qui entraînèrent la fin du mandat français sur le Liban et la Syrie, le PSNS joua un rôle central dans les manifestations de rue et ses milices firent le coup de feu contre les troupes françaises.

 

Mais le PSNS fut déçu par la proclamation de l’indépendance du Liban car elle enterrait son espoir de la création d’une « Grande Syrie ». Deux États étaient nés et Antoun Saade n’eut alors plus qu’une idée en tête, trouver le moyen de les faire fusionner.

 

La voie des urnes puis celle des armes

 

Installé au Liban, Antoun Saade joua d’abord la carte de la légalité et de la voie électorale. Aux élections de mai 1947, nombre de candidats du PSNS furent élus. Mais, constatant rapidement l’impossibilité de faire triompher ses idées par la voie parlementaire Saade s’exila en Syrie et entrepris d’organiser une action subversive à l’intérieur du Liban. Mais les services de sécurité libanais eurent vent de l’affaire et une tentative de soulèvement militaire dans la zone de la Bekka eut pour conséquence l’arrestation d’Antoun Saade en juillet 1949 et son exécution immédiate (2). Quant au PSNS, il fut déclaré hors la loi et devint clandestin, ce qui ne l’empêcha pas de rester très actif et de tout faire pour venger son chef, assassinant le premier ministre libanais en 1952, multipliant les attentats à Beyrouth et les émeute dans tout le Liban, jusqu’à l’élection à la présidence de la République de Camille Chanoun en 1952. 

 

Un combat sans merci contre la Phalange

 

Redevenu un parti légal le Parti social-nationaliste syrien participa sous ses propres couleurs aux élections de 1953. Il s’y opposa avec violence Parti phalangiste de la famille Gemayel qui tentait de s’implanter dans ses fiefs. Ce fut le début d’un combat sans merci qui perdure encore.

 

Danses années qui suivirent le PSNS se consacra à un patient travail de noyautage de l’armée libanaise en vue de prendre le pouvoir par un coup de force. C’est ainsi que dans la nuit du 31 décembre 1961 au 1 janvier 1962, il tenta un coup d'État qui échoua. Trois mille cinq cents membres du parti furent arrêtés, cinquante furent tués lors d’affrontement armés. La dure répression fut principalement menée par des partisans de la famille Gemayel et le parti fut interdit.

 

La vengeance étant un plat qui se mange froid, le 13 avril 1975, un commando du PSNS tua le garde du corps personnel de Pierre Gemayel pour venger la mort et la torture de ses membres emprisonnés en 1961. Mieux, en 1982, un militant maronite du parti organisa l’assassinat du président de la République libanaise Bashir Gemayel, tant pour venger les morts du PSNS que pour punir le président d’avoir des liens étroits avec Israël. Enfin, en 2006, le PSNS fut fortement soupçonné d’être l’organisateur de l’assassinat de Pierre Amine Gemayel.

 

Entre temps, le PSNS clandestin s’était étroitement lié à la résistance palestinienne et avait multiplié les actions contre l'occupation israélienne du Liban, organisant de nombreux attentats à la voiture piégée, ainsi que des attentats-suicides comme lorsque Sana Khyadali, une de ses militante, devint, en 1985, la première femme kamikaze du Proche-Orient.

 

Durant la guerre civile libanaise, la milice du PSNS affronta durement celle des partisans de Gemayel. Le PSNS fut ensuite l'un des libérateurs du Sud-Liban, avec Amal, l'armée libanaise et le Hezbollah.

 

Le PSNS aujourd’hui

 

A partir des années 1970, le PSNS fut toléré en Syrie et, en 2005, Bachar el-Assad accepta qu’il intégre le Front national progressiste. Fort d’une centaine de milliers de membre, il joue depuis un rôle discret mais non négligeable dans la vie politique syrienne.

 

Dans le contexte libanais le PSNS se positionne comme pro-syrien. Il est membre du Bloc de la résistance et du développement, une coalitions parlementaires au sein de l’Assemblée nationale libanaise, avec le mouvement Amal, le Hezbollah, le Parti Ba’as et le Parti phalangiste de Karim Pakradouni.

 

Christian Bouchet

 

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Rédigé par DanielB

Publié dans #Geopolitique

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Publié le 26 Avril 2011

Alors que les chefs politiques et militaires Français et Anglais cherchent du mieux qu'ils le peuvent à masquer leur expédition coloniale en Libye sous le patronnage de la " Communauté Internationale " , ils sont servis par de piètres petits propagandistes dans les mediats Français qui se référent à l' " Expédition de Suez " , un fantôme qui hante  Sarközy et Cameron mais que beaucoup de Français ne connaissent pas du tout en raison tout simplement de l' " omerta " qui règne sur ce dossier dans les programmes de l' EN et les mediats .  

Je cite tout d'abord Isabelle Lasserre , la " spécialiste des questions militaires " du Figaro* , qui évoque sous l'air de la " personne informée " , la présence de 600 parachutistes Britanniques à Chypre qui fut la base arrière de l'agression contre le colonel Nasser .

Le colonel Michel Goya est plus explicite lui puisqu'il rêve tout haut à une réedition de la ratonnade aéroportée et amphibie de 1956 : " Bien entendu, un corps expéditionnaire franco-britannique (et si possible aussi arabe) du type de celui de Suez en 1956 permettrait d'emporter la décision à coup sûr mais aussi à coûts sûrs."

 

 

 

 

 

 * Qui est incapable , citant des " sources " , de donner le nom exact du systéme d'aide au commandement informatique installé à bord du BPC Mistral et de donner le nombre de ces navires que la Russie compte déployer en Extrême-Orient . Bref une " Pavel Felgenhauer Française " !

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Rédigé par DanielB

Publié dans #Interventions coloniales en Afrique

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Publié le 26 Avril 2011

13H45. Pas d'intervention en Syrie sans résolution de l'ONU
La France n'interviendra pas en Syrie sans une résolution préalable du Conseil de sécurité de l'ONU, "qui n'est pas facile à obtenir", a déclaré mardi à Rome le président français Nicolas Sarkozy. "Il ne saurait être question de quoi que ce soit sans une résolution du Conseil de sécurité" de l'ONU, a déclaré M. Sarkozy lors d'une conférence de presse à l'issue du sommet franco-italien.

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Rédigé par DanielB

Publié dans #Interventions coloniales en Afrique

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Publié le 25 Avril 2011

Les me(r)diats Français - écrits ou télévisuels - se sont tous fait l'écho d'une bannière Française hissée sur un édifice public de Benghazi - à côté de la bannière islamiste Sénoussie - pour justifier les crimes de guerre commis en Libye par l'Armée de l'Air et la Marine Nationale sur ordre de Nicolas Sarközy , Gérard Longuet , Alain Juppé et inspirés par le philosophe juif sioniste Bernard-Henri Levy .

On a aussi pu voir ça et là de petits panneaux maladroits ou l'on pouvait lire : " Merci la France "

 

Bien peu - aucun - n'a montré les panneaux déployés dans tout Benghazi  lors de la visite du sénateur John Mac cain dans cette ville de Benghazi . Et pour cause !

 

 

 

 

Libye: les insurgés veulent un renfort international

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Rédigé par DanielB

Publié dans #Interventions coloniales en Afrique

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Publié le 25 Avril 2011

 

Alors que le rôle des tribus va certainement se renforcer dans la guerre civile Libyenne suite aux déclarations du vice-ministre des Affaires étrangères Khaled Kaaim -  «La situation à Misrata sera traitée par les tribus autour de Misrata et non pas par l’armée libyenne» , - Bernard Lugan se livre à une analyse des rapports de force tribaux en Libye à la date du 24 avril 2011 .

 

La nouvelle selon laquelle le colonel Kadhafi  aurait ordonné à son armée de se retirer de la ville  de Misrata  pour y confier le rétablissement de l’ordre aux tribus qui lui sont loyales, permet de mettre en évidence la grande réalité tribale sur laquelle repose la vie sociale libyenne .

 Le problème, lorsque l’on parle des tribus de Libye tient au fait que nous sommes en présence d’ensembles divisés en une infinité de clans et de sous clans aux alliances fluctuantes et aux zones d’habitat mouvantes. On recense ainsi environ 150 tribus et clans dont la plupart vivent éclatés sur plusieurs régions et dont les intérêts sont régulièrement contradictoires. Ces tribus ne constituent pas des blocs homogènes unanimement rangés dans un camp ou dans l’autre. Ainsi, au sein même des Gaddafa, la tribu du colonel Kadhafi, l’un des cousins de ce dernier, Ahmed Gaddaf al-Dam est passé chez les insurgés. S’agit-il d’une adhésion sincère ou d’une habitude bédouine de ménager une porte de sortie pour les siens? L’histoire le dira. 

Entre ces tribus et ces clans, les apparentements familiaux sont étroits, ce qui fait qu’en dépit des combats, les liens qui ne sont jamais rompus peuvent donc être renoués à tout moment.


 

 

Je vous invite à la consulter la suite sur :

http://bernardlugan.blogspot.com/2011/04/lalchimie-tribale-libyenne.html

 

 

 

 

Je vous signale d'autre part une analyse du rôle de ces tribus au sein de l'appareil militaire Libyen publièe en 2002 et à laquelle j'avais fait référence sur ce blogue :LIBYA - Tribal Rivalries

  

On pourra enfin se reporter à cette étude systématique :

http://www.temehu.com/Libyan-People.htm



L'" insurrection Libyenne " est donc loin de la version communément présentée par nos mediats d'une " révolution à la Tunisienne " mais est bien une guerre civile tribale qui prend des aspects de " guerre raciale " puisque les massacres de " noirs " commis par les " démocrates de Benghazi " au cours de ce qu'il faut qualifier des pogroms sont sans nombre .

C'est d'ailleurs le point de vue des représentants de la communauté - progressiste - Afro-Américaine :

http://blackagendareport.com/content/libya-getting-it-right-revolutionary-pan-african-perspective

Alors que la " communauté internationale " prétend imposer la " démocratie " [ Occidentale de type Anglo-Saxon ! ] , il apparaît que le système de démocratie directe   instauré en Libye par le colonel Mouammar Kadhafi et décrit dans son Livre Vert  apparaît chaque jour de plus en plus en phase avec cette réalité tribale Libyenne par rapport au modéle de " démocratie Occidentale "  .C'est la conclusion qu'en tirait l'ethnologue social John Davis en 1988 dans Libyan Politics: Tribe And Revolution .  Signalons enfin l' imposture de la " Loya Jirga " des * représentants de 300 tribus * que le philosophe juif sioniste - et accessoirement notre MAE , MD et CEMA - Bernard-Henri Levy prétend avoir vu siéger à Benghazi . .

 

  Signalons enfin que ce fait tribal si prégnant dans la guerre civile Libyenne augure d'une " internationalisation " du conflit et à sa propagation à l'ensemble Saharo-Sahelien . Le " Conseil National Libyen " évoque la présence d'élèments tribaux favorables à Mouammar Kadhafi dans l'ouest de l' Egypte tandis que le Sahara Algérien " s'agite " ...

 

 

 

 

 

Tuareg Cconfideracies

 

 

La "confédération Touareg" :

  • 1 - Pink (top right): Azger Confederacy: located in Libya & Algeria: includes the Libyan oases of Ubari & Ghat.
  • 2 - Pink (bottom right): Ayer Confederacy: located in Niger, also written Aïr, Air or Ayr.
  • 3 - Pink (left): Awellimedden  & Kel Athram Confederacy: located in Mali, includes Timbuktu.
  • 4 - Yellow (top, between 1 & 3): Ahoggar Confederacy: located in Algeria: includes the oasis of Tamanrasset (also known as Tamanghasset).
  • 5 - Yellow (middle, below 4): Tkerekrit (spelling ?) Confederacy: located in Niger & Mali: includes the oasis Agadir and Tawa.
  • 6 - Green (right, right of 4 and below 1): Tamezgda Confederacy, located in Niger
  • 7 - Orange (bottom, below 4): Agres [Kel Gress] Confederacy: located in Niger and Mali.

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Rédigé par DanielB

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Publié le 24 Avril 2011

Vous verrez dans la bannière de droite deux nouveaux venus qui parlent le Portugais .

Resistir.info et la Revista Eletrônica Estratégia Brasileira de Defesa - A Política e as Forças Armadas em Debate

 

Cette dernière est constituée de doctorants - jeunes et plus agés - en relations internationales et présente un point de vue alternatif aux questions de sécurité nationales Brésiliennes et internationales .

Je tiens en particulier à signaler parmi ses rédacteurs - la ravissante - Fernanda das Graças Corrêa qui a écrit un ouvrage de référence sur le projet de SNA Brésilien "O Projeto do Submarino Nuclear Brasileiro. Uma História de Ciência, Tecnologia e Soberania"

d'un livre de " géopolitique historique " sur le général Ernesto Geisel qui livre de nouvelles révélations sur l'accord nucléaire germano-brésilien de 1975 : Ernesto Geisel é o acordo do século : A energia nuclear é o desinvolvimento Brasileiro qui a été le sujet de son post-docorat à l'Institut de Géographie et d'Histoire militaire du Brésil .

Signalons aussi parmi ces rédacteurs Geraldo Luis Lino , vice-président du MSIa - Movimento de Solidariedade Ibero-americana - proche des " Larouchistes " .et grand pourfendeur des " Khmers-verts " et autres " Réchauffistes " .

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Rédigé par DanielB

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Publié le 24 Avril 2011

Les " forces fidéles au colonel Kadhafi " continuent apparement de " surprendre " la plupart des " analystes " et leurs " boucles OODA " et autres " munitions guidées " !

La guerre dans le désert c'est aussi :

1- Surgir du néant

2- Frapper fort

3- Disparaître dans le néant

 

Tripoli, Libya (CNN) -- Loyalists to Libyan leader Moammar Gadhafi
killed eight rebel fighters in a rare attack earlier this week in an
opposition-held region near the Egyptian border, a medical official
and an opposition spokesman told CNN Saturday.

 

The regime loyalists, riding in a convoy of nine vehicles, attacked an
oil pumping station in the Libyan desert on Thursday, about 300
kilometers (186 miles) southwest of Tobruk, said Dr. Rida Benfayed, aphysician who claimed he treated a rebel fighter injured in the attack.

Tobruk is a rebel stronghold one hour west of the Egyptian border and

is the site of a key oil exporting facility where the rebels shipped
out their first consignment of oil earlier this month.

Benfayed said the gunmen opened fire on a team of nine rebel military
guards manning the pumping station. The regime loyalists set a tire on
fire to burn the remains of a senior rebel guard, the doctor said.

The only guard who survived was shot twice in the leg but managed to
escape and drive himself to Tobruk where he's in stable condition at a
hospital.

Opposition spokesman  Ahmed Bani confirmed the attack, which showed
the regime's capability to strike deep into rebel territory with
ambush-style attacks.

 

Quid de :

- La détection lors de l'approche de ce convoi de neuf véhicules ( inspiré probablement des tactiques du LRDG : Long Range Desert Groups )

- Sa destruction

 

  On ne peut qu'être stupéfait par les capacités d'adaptation- un véritable " éléphant qui se met à danser " -  des " forces fidéles au colonel Kadhafi " et remettre à leur juste place les élucubrations des ganâches de l' EM Français qui révent d'une " opération MANTA " - bis en armant les islamistes Sénoussis avec des armes anti-chars .

 

 

 

 

 

 

 

 

  Note de l'Editeur : Je suis en train de rédiger le " digest " de la dernière intervention du MD Brésilien Nelson Jobim au salon LAAD 2011 ou celui-ci remet en cause le " fétichisme technologique " - Occidental - dans les conflits . Voici un cas d'espèce qui s'applique parfaitement à ses dernières reflexions !

 

 

 

 " Learn the Bedu principles of war as thoroughly and as quickly as you can, for till you know them your advice will be no good to the Sharif. Unnumbered generations of tribal raids have taught them more about some parts of the business than we will ever know. "

  Thomas Edward Lawrence

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Rédigé par DanielB

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Publié le 24 Avril 2011

La dernière réunion des BRICS commence à porter  ses fruits .

 

 

PEKIN, 24 avril - RIA Novosti

Les pays occidentaux entravent le développement militaire de la Chine, a déclaré dimanche à Pékin le chef d'Etat-major des forces armées chinoises, Chen Bingde.

 

 

 

 

"Malheureusement, les États-Unis et les pays de l'Union européenne créent des obstacles pour empêcher le développement des capacités défensives de la Chine, alors que la Russie nous accorde une véritable aide dans le domaine militaro-technique", a indiqué M.Chen au cours d'une rencontre avec son homologue russe Nikolaï Makarov.

Selon M.Chen, la Russie et la Chine ont "la même vision de nombreux problèmes internationaux dont la solution serait impossible sans leur participation". Selon lui, "cette unité est basée sur la confiance mutuelle".

"Ainsi, nous partageons la même approche à de nombreuses questions, dont par exemple celle de la dénucléarisation de la péninsule coréenne", a-t-il poursuivi.

Le chef d'Etat-major général des forces armées russes, Nikolaï Makarov, se trouve en visite en Chine, où il doit participer à la réunion des chefs d'Etat-major de l'Organisation de coopération de Shanghai (OCS), programmée le 25 avril à Shanghai.

 

  L'Occident entrave le développement militaire de la Chine

 

 

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Rédigé par DanielB

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