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Publié le 24 Avril 2011

Les forces de Mouammar Kadhafi ont pris samedi la ville de Yafran - Jafran , dans la région des Montagnes occidentales au sud-ouest de Tripoli, a annoncé un porte-parole des rebelles à la chaîne de télévision Al Arabia. [ Reuters ]
 Une photo de Jafran ! Il ya des emplacements qui" portent " le poids de l'histoire !

Des emplacements " telluriques " ...

 

 Le grand baroud des tribus

En Libye, le gouvernement du colonel El Gueddafi a annoncé qu’il allait confier aux tribus loyalistes la ville rebelle assiégée de Misrata au moment où l’Otan a mené des raids contre Tripoli et au sud-ouest de la capitale dans une zone rebelle. Les forces loyales à Mouamar El Gueddafi vont se retirer de Misrata (ouest) et confier aux tribus de la région la mission de mettre fin au conflit dans cette ville par le biais de négociations ou par la force, a déclaré vendredi soir le vice-ministre des Affaires étrangères, Khaled Kaaim. «La situation à Misrata sera traitée par les tribus autour de Misrata et non pas par l’armée libyenne», a déclaré M.Kaaim. Selon lui, l’armée était incapable de venir à bout des rebelles en raison des raids de l’Otan. L’annonce par le régime de la mobilisation d’habitants des villes environnantes, comme Bani Walid ou Zliten, fiefs de la tribu des Werfella, la plus nombreuse et la plus loyale, vise semble-t-il à compliquer la tâche de l’Otan en impliquant ces civils

 

 

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Rédigé par DanielB

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Publié le 23 Avril 2011

Je vous invite à consulter , en faisant un petit effort puisque je n'ai pas le temps de les traduire , deux articles :  L'un consacré au " virage " géopolitique que semble accomplir l'administration Rousseff avec un positionnement de plus en plus marqué vers le BRICS et l'autre une interview de Serguei Ladiguine , représentant de " Rosoboronexport " au salon LAAD 2011 , qui " fait l'article " du Su-35 en insistant sur son rayon d'action et ses capacités d'emport .

Le premier article  est de Denise Rothenburg du Correio Braziliense qui analyse les positionnements en politique étrangère de Dilma Rousseff et le rôle de Nelson Jobim dans les relations avec les militaires .

La question du choix de l'aéronef dans le cadre du " programme FX-2 " est bien sûr abordée et présentée comme un choix géopolitique :

 

Em relação à geopolítica, há dentro do Brics uma forte intenção de fortalecimento da relação entre os países, inclusive com preferência na hora de trocas comerciais e acordos de transferência de tecnologia em várias áreas. E foi justamente dentro dessa perspectiva da geopolítica que Dilma Rousseff disse ao presidente russo que nada está fechado em termos da compra dos aviões caças. Da mesma forma que Lula tinha um alinhamento com a França — e muitos citam que daí tenha surgido o fato de ele defender os caças Rafale —, Dilma tem hoje a preferência pelo Brics

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Publié le 21 Avril 2011

Un témoignage pour l'histoire :

Après la révolution  du 01 septembre qui a mis à bas le régime Sénoussie , le colonel KADHAFI donne une interview exclusive en anglais à Raymond GIRARD. Il explique que le peuple Libyen était prêt à un changement de régime et il prône un passage à un socialisme arabe d'Etat. Il évoque ensuite la position de la Libye vis à vis d'Israël et du conflit au proche orient en général. Le colonel KADHAFI revient également sur les richesses pétrolières de la Libye et estime que ce n'est pas le moment d'aborder le sujet d'éventuelles nationalisations. Après l'interview, il sort du palais sous les acclamations de la foule et s'engouffre dans une jeep.

http://www.ina.fr/video/I09237391/interview-de-mouammar-kadhafi-apres-le-coup-d-etat-du-01-septembre.fr.html

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Rédigé par DanielB

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Publié le 16 Avril 2011

Dans une dépêche publiée le 13 avril, l'agence de presse RIA Novosti se félicite de l'orientation géopolitique de Marine Le Pen .

Via Vox.NR

 

 

 

La présidente du Front national, Marine Le Pen, a promis mercredi devant les journalistes étrangers à Nanterre, que si elle gagnait la présidentielle, la France ferait de la Russie un partenaire privilégié et sortirait de l'Otan.

"Je pense que la France a tout intérêt à se tourner vers l'Europe, mais la grande Europe, et notamment à travailler à des partenariats avec la Russie", a-t-elle dit.

Mme Le Pen a argumenté la nécessité d'un partenariat stratégique avec Moscou par des "raisons évidentes, civilisationnelles et géostratégiques", ainsi que par l'intérêt de l'indépendance énergétique de la France.

Elle a également promis de modifier les relations franco-américaines et de faire sortir la France de l'Alliance atlantique, en rappelant que le FN avait toujours été contre l'entrée dans l'Otan.

"Les choix qui ont été faits par le président de la République, qui apparaissent comme des choix d'alignement systématique (sur les Etats-Unis, ndlr), ne m'apparaissent pas positifs", a-t-elle indiqué.

Mme Le Pen a également prédit la fin de l'euro et défendu le plan de sortie de la monnaie unique de son parti. Elle a appelé à suspendre d'urgence l'espace Schengen et à réfléchir sérieusement à "la fin de l'Union européenne".

Marine Le Pen a pris la tête du FN, en succédant à son père, Jean-Marie Le Pen. Elle figurera parmi les candidats à l'élection présidentielle en avril-mai 2012 en France.

Les récents sondages d'opinion font état de sa popularité croissante. Selon les analystes, Mme Le Pen a toutes les chances de parvenir au second tour.

 

 

 

 

 

 

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Rédigé par DanielB

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Publié le 8 Avril 2011

Un article de Pierre Beylau dans Le Point qui souligne l'hypocrisie des " interventions humanitaires " . Les guerres en Libye et en Côte d'Ivoire sont menées pour d'autres objectifs , à savoir le pétrole et la situation géostratégique de la Libye , le cacao Ivoirien . Bien que in fine je ne peux adhérer à la vision de Pierre Beylau , celle-ci a au moins  le mérite de dénoncer l'hyprocrisie de nos chefs politiques et militaires : Les guerres de Libye et de Côte d'Ivoire sont des guerres d'accaparement des ressources naturelles et non pas des guerres du " droit et de la démocratie " ! C'est ce que Pierre Beylau adepte aussi de la langue de bois qu'il dénnonce traduit par ". "Et stabiliser durablement ces deux pays " . Il suffit en effet de comparer le statut quo ante pour consater que la Libye et la Côte d'Ivoire n'étaient nullement " instables " avant les interventions militaires Occidentales .

 

 

 

Il n'est pas possible de faire la guerre à moitié. Et les prétextes humanitaires empêchent d'aller jusqu'au bout.

 

"C'est une erreur fatale d'entrer en guerre sans la volonté de la gagner." L'aphorisme est du général Douglas MacArthur. Le vainqueur de la guerre du Pacifique affirmait que si l'on s'engage dans un conflit, il faut avoir des objectifs clairs et être prêt à aller jusqu'au bout pour les atteindre.

Les interventions en Libye et en Côte d'Ivoire, de nature très différente, ont un point commun. Dans les deux cas ont été invoquées des raisons humanitaires : la protection de populations menacées. C'est ce qui figure en toutes lettres dans les résolutions de l'ONU. Les vrais motifs sont, bien sûr, ailleurs :se débarrasser de Kadhafi à Tripoli et de Gbagbo à Abidjan. Et stabiliser durablement ces deux pays.

Entre Paris et Abidjan, des liens historiques

Dans nos États occidentaux, et singulièrement en France, l'utilisation de la force armée est par essence suspecte. Il n'est plus possible, par exemple, de mettre en avant la défense d'intérêts stratégiques. Ce n'est pourtant pas honteux, c'est même pour cette mission que sont, notamment, mandatés nos gouvernants. La France et la Côte d'Ivoire ont des liens historiques et Paris, même s'il le voulait, ne peut pas se désintéresser de la tragédie qui s'y déroule. Son intervention est donc des plus légitime.

Mais si vous estimez devoir expédier des avions dans le ciel libyen ou dépêcher une compagnie de légionnaires à Cocody, il vous faut habiller la chose de manière à ce que cela soit compatible avec l'air du temps. Exit donc la défense de nos intérêts. Ne pensez même pas faire figurer cette notion dans un plan com. La promotion de la démocratie à la pointe des baïonnettes, l'obligation morale de mettre un terme à des dictatures barbares sont déjà plus vendables, bien qu'entachées du fâcheux précédent de George Bush en Irak. Reste donc une seule solution pour faire accepter, tant bien que mal, par les opinions publiques le déclenchement des orages d'acier : la menace de génocide pesant sur les populations.

 

La guerre humanitaire, un oxymore

Mais ce processus contient ses propres contradictions. Sur le plan sémantique comme politique, la guerre humanitaire est un redoutable oxymore à gérer. Si l'intervention n'est qu'humanitaire, comment expliquer que l'on aille bien au-delà de la stricte démarche de protection ? Comment argumenter quand des hélicoptères anéantissent quelques dizaines de véhicules à Abidjan, que des avions bombardent Tripoli ?

Jadis on prenait évidemment moins de gants : lors de l'opération Barracuda à Bangui (Centrafrique), en 1979, qui aboutit à l'éviction de l'empereur Bokassa, son remplaçant David Dacko, en exil en France, voyageait dans l'un des avions qui transportaient les parachutistes... Époque, bien sûr, révolue.

Reste qu'il serait peut-être plus clair d'expliquer en détail aux Français les véritables raisons d'intervenir en Libye ou en Côte d'Ivoire. Et de ne pas s'abriter éternellement derrière le paravent troué de l'humanitaire.

 

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Rédigé par DanielB

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Publié le 6 Avril 2011

Rédigé par DanielB

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Publié le 6 Avril 2011

Dés la signature de l'accord Franco- Britannique de coopération militaire j'y avais vu l'amorce de nouvelles aventures coloniales dans le style et l'esprit du XIX éme siècle .

Les raisons de cette inquiètude , aujourd'hui pleinement justifiée à l'aune des trois guerres coloniales que mène la France ,se trouvaient dans cet article daté de 2002 sur les ambitions néo-coloniales de l'Angleterre de Tony Blair . Un document qui revêt aujourd'hui toute son importance . Signalons que cet article a été publiè dans  Time of India , un peuple et une nation qui connaissent le poids du mot " colonialisme " dans sa version Britannique . L'Inde s'est opposé avec le Brésil au projet d'intervention " humanitaire " en Libye , à contrario de la Russie et de la Chine qui se sont " abstenues " au CS de l'ONU . Notons que l'éditorialiste Rashmee Z Ahmed emploie par auto-dérision le terme British Raj pour désigner son propre pays ! Le titre de son article fait bien sûr référence au célèbre jeu .

  

Blair's Britain wants a return to 'age of empire'
Rashmee Z Ahmed
Time of India
March 28, 2002

LONDON: Tony Blair has provoked alarm and concern within his own party and in several Western capitals by allowing his chief foreign policy advisor to call for a "new imperialism" to re-order the post-September 11 world.

The call for a "defensive imperialism", with Western countries, particularly Britain and the European Union intervening abroad to restore order, comes in a pamphlet that has a foreword by Blair himself.

 

 

 

Blair's advisor, Robert Cooper, who represented the British government at the Bonn talks that produced the interim Hamid Karzai administration in Afghanistan, is known to have heavily influenced the British prime minister's foreign policy thinking.

Just three months ago, Blair used the high-tech, but hugely symbolic venue of Bangalore in the former British Raj [ Sic ! ] to speak of his vision for Britain as a "force for good in the world".

Cooper, who argues for a "post-modern" apartheid-like duality of laws and systems to deal with "ourselves and the premodern world", says the West will have to employ "double standards".

He said that like the old empire, Western countries would have to deal with "old-fashioned states outside the postmodern continent of Europe with the rougher methods of an earlier era — force, pre-emptive attack, deception, whatever is necessary to deal with those who still live in the nineteenth century..."

The pamphlet, which contains a thoughtful essay on Hindu, Muslim and Christian identity by Amartya Sen, is published by the Foreign Policy Centre, set up by Blair and of which he remains the patron.

The document continues a theme that analysts describe as increasing assertiveness by the British government.

Just 48 hours ago, British foreign secretary Jack Straw declared that "the UK is not a superpower, but we have continuously shown that we play a pivotal role. We can — and do — make a big difference. Our challenge is to stave off the Afghanistans of the future".

Straw's comments came soon after Geoff Hoon, the defence minister, warned that the UK would not flinch from retaliatory nuclear strikes against Baghdad.

Even as commentators expressed surprise and alarm at the very public neo-imperial ambitions of Blair's Britain, sections of his own party dismissed the prime minister's foreign policy advisor as a maniac.

One outspoken MP, opposed to widening the war on terror to include Iraq, suggested that "the Russian Tsarina was better advised by Rasputin than the Prime Minister is by this maniac. To claim that the need for colonialism may be as great as in Victorian times is extraordinary".

But a spokesman for the Foreign Policy Centre told this paper the call for a new Western imperialism may have been "misread".

 

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Rédigé par DanielB

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Publié le 6 Avril 2011

Un article de Christian Bouchet sur l'indispensable  Vox.NR

 

Né en 1977 dans une petite ville du Nord de l’Inde, ayant acquis la citoyenneté américaine par naturalisation, Parag Khanna a fait un parcours sans faute de surdoué jusqu’à devenir un intellectuel organique de l’hyper-classe nomade et sans racines. Après des études de relations internationales à l’université de Georgetown et un doctorat à la London School of Economics effectués grâce à des bourses de plusieurs fondations yankees, notre homme est engagé, à seulement vingt-deux ans !, comme analyste par le Council on Foreign Relations. Cette première expérience décide de toute sa carrière et Parag Khanna n’a jamais cessé depuis d’être un analyste et un consultant pour des think tanks et des ONG mondialistes. Ainsi sera-il successivement employé par le Forum mondial économique de Genève et par la Brookings Institution où il aura en charge la prospective concernant la « gouvernance globale ». Il quittera ce poste pour devenir conseiller en géopolitique de l’United States Special Operations pour l’Irak et l’Afghanistan en 2007 avant d’intégrer l’équipe de campagne de Barack Obama comme conseiller pour les relations internationales.

En parallèle Parag Khanna, par ailleurs devenu membre de la direction du Council on Foreign Relations, sera aussi un des animateurs des Independent Diplomat, une ONG dont une des fonctions est de « fournir des diplomates free-lances à des États non-internationalement reconnus ». À ce titre, il jouera un rôle dans l’accession à l’indépendance du Kossovo, ainsi que dans l’évolution de la situation diplomatique du Somaliland, de la république turque de Chypre et du Sahara occidental. Dans le même temps, il publia The Second World: Empires and Influence in the New Global Order où il annonçait un monde dominé par trois grandes puissance – les USA, la Chine et l’Europe – rivalisant entre elle pour le contrôle des ressources de la planète.

Ces multiples activités et engagement firent que, toujours en 2008, le magazine Esquire le cita parmi les soixante-quinze personnalités les plus influentes au monde et que le mensuel libertarien Wired l’inclut, quant à lui, dans sa liste des quinze hommes de l’année. En 2009, c’est le Forum mondial économique de Genève qui le distingua en le nommant Young Global Leader…

En janvier 2011, l’éditeur Random House a publié son deuxième livre : How to Run the World? Parag Khanna y explique comment le nombre d’État représentés à l’ONU devrait croître à court terme de manière très importante (passant de 200 à 300) par la remise en cause des accords diplomatiques qui ont décidé de la partition du Proche-Orient (accords Sykes- Picot de 1916) et de l’Afrique (traité de Berlin de 1884). De la nouvelle carte du monde devraient disparaître les États artificiels au profits de territoires uniformes d’un point de vue ethnique ou religieux.

Si l’hypothèse n’est pas réellement nouvelle et recycle beaucoup d’idées déjà présentes dans les diverses stratégies suivies ces dernières décennies par le Département d’État, elle a cependant l’avantage de les formaliser clairement. Quant à sa mise en œuvre, elle a débuté au Soudan avec sa partition et en Irak avec les diverses tentatives de le « libaniser » (voir notre article sur l’Assyristan dans Flash n° 54). Rien ne dit qu’elle ne va pas continuer avec un éclatement de la Libye, et pourquoi pas du Machrek tout entier comme l’ont évoqué très récemment aussi bien Aluf Benn, le chroniqueur diplomatique du quotidien israélien Haaretz, que Thomas Friedman, du New York Times, qui tous les deux évoquent l’explosion de la Syrie, de la Jordanie, de Bahrein et de l’Arabie saoudite, tandis qu’aux États-Unis certains lobbies soutiennent l’idée d’une possible autonomie pour les coptes d’Égyptes.

Dans l’immédiat cependant les avis sont très partagés parmi les officiels et nombre de diplomates et politiques, tant yankees qu’israéliens, freinent des quatre fers craignant que du renversement des gouvernements forts actuellement existants naisse un chaos politique et religieux similaire à la situation irakienne et plus dangereux que positif au final, tant pour la survie d’Israël que pour les intérêts de l’Oncle Sam.

Cela étant, dans The Second World Parag Khanna se fait aussi l’apôtre de la mega-diplomacy situation où la fonction diplomatique n’est plus l’apanage des États mais est prise en charge aussi par les ONG, les célébrités mondiales, les groupes activistes internationaux, etc. dans une optique qui ressemble comme deux gouttes d’eaux à la gouvernance mondiale… Tout ceci permet de comprendre que Parag Khanna n’est pas qu’un brillant agent de l’impérialisme américain, mais qu’il est aussi, comme nous l’annoncions précédemment, un intellectuel organique de l’hyper-classe. Cela a une conséquence : il défend des thèses qui sont favorables à celle-ci, même si elles peuvent nuire aux États-Unis - pays dont il n’a, somme toute, que la nationalité… - qui ne sont pas, à terme et comme l’Europe, à l’abri d’un éclatement sur des bases ethniques et qui ont eux aussi beaucoup à perdre de la montée de la notion de gouvernance.

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Rédigé par DanielB

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Publié le 6 Avril 2011

Le 1er octobre 1895, un corps expéditionnaire Français entre à Tananarive, capitale de Madagascar. Il impose un traité de protectorat à la reine de l'île, Ranavalo III.

L'île devient partie intégrante de l'Empire français pour un peu plus d'un demi-siècle.

La colonisation brise net l'élan vers la modernité amorcé au début du XIXe siècle par la formation d'un État centralisé sur les hauts plateaux.

La suite sur Herodote.net

Nota : Les heureux possesseurs d'éditions de " Le Petit Journal " datant des années 1890-1900 peuvent suivre l'actualité quotidienne des exactions glorieux faits d'armes de la pègre armée  de nos valeureuses  troupes de l' " Opération Licorne " de manière illustrée !

* Il ne s'agit pas ici de cautionner ce terme abject mais bien sûr de dénoncer le caractère raciste et néo-colonial de l'intervention Française . 

 

 

 

 

 

 

 

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Rédigé par DanielB

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Publié le 4 Avril 2011

Deux excellentes interventions de Bernard Lugan : Il semble malheureuserment que les craintes de Bernard Lugan , " nos " craintes , soient devenues des tristes réalités .

 

Libye : démocrates ou djihadistes ?

Libye et Côte d’Ivoire : bons démocrates contre méchants dictateurs ?  

 

 

  Je le cite avec une allusion évidente à la Guerre Civile Espagnole , celle qui a eu lieue et qui pourrait de nouveau éclater   :

" La révolte est un soulèvement ancré en Cyrénaïque, plus particulièrement autour des villes de Benghazi et de Dernah. Les autorités françaises ont reconnu ses dirigeants comme les seuls représentants du « peuple de Libye ». Un peu comme si la Catalogne s’étant soulevée contre Madrid, Paris reconnaissait les délégués de Barcelone comme seuls représentants du peuple espagnol…"

 

 

 

 

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Rédigé par DanielB

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