nord-stream

Publié le 14 Septembre 2009

MOSCOU, 14 septembre - RIA Novosti. En septembre ou en octobre prochain, le groupe français GDF Suez se joindra aux actionnaires de la société opératrice du gazoduc Nord Stream en cours de construction au fond de la Baltique entre la Russie et l'Allemagne, a confié à RIA Novosti le vice-président du conseil d'administration de Gazprom Alexandre Medvedev.

"Toutes les questions relatives à la participation du groupe français au capital de Nord Stream seront réglées en septembre ou en octobre", a-t-il déclaré lundi.

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Publié le 28 Juillet 2009

GDF s'intéresse à Nord-Stream 

MOSCOU, 28 juillet - RIA Novosti. Le premier ministre russe Vladimir Poutine s'entretiendra mardi avec le PDG de Gaz de France Suez Gérard Mestrallet, annonce le service de presse du gouvernement russe.

L'entretien portera sur le développement de la coopération dans le secteur pétro-gazier, sur la sécurité énergétique européenne, ainsi que sur les problèmes de relations entre les pays producteurs, transitaires et consommateurs de ressources énergétiques.

La coopération entre la Russie et Gaz de France, qui a par la suite donné naissance à la compagnie franco-belge EDF Suez, a débuté en 1976. Depuis, plus de 300 milliards de mètres cubes de gaz naturel ont été fournis à la compagnie. Tous les ans, GDF Suez achète près de 12 milliards de mètres cubes de gaz à la Russie.

GDF Suez devrait intégrer avant la fin de l'année le projet de gazoduc russo-allemand Nord Stream après avoir acheté les actions de la société néerlandaise Gasunie.

L'opérateur du projet de pipeline est la société Nord Stream AG enregistrée en Suisse et détenue à 51% par Gazprom, à 20% chacune par les sociétés allemandes Wintershall Holding et E.ON Ruhrgas et à 9% par Gasunie

Nord Stream est un itinéraire foncièrement nouveau pour l'exportation de gaz russe vers l'Europe (avant tout vers les marchés allemand, britannique, néerlandais, français et danois), qui contournera les pays de transit traditionnels. Il reliera Vyborg (Russie) et Greifswald (Allemagne) par la mer Baltique.

Une coopération dans le domaine du GNL

MOSCOU, 28 juillet - RIA Novosti. La Russie souhaite coopérer avec Gaz de France (GDF) dans la production de gaz naturel liquéfié (GNL), a déclaré le premier ministre russe Vladimir Poutine lors d'une rencontre avec les dirigeants de la société française.

"Nous connaissons le niveau de vos compétences en matière de liquéfaction du gaz et souhaitons développer notre coopération dans ce domaine", a-t-il affirmé.

Selon le premier ministre, la Russie est également intéressée à coopérer avec le groupe français dans d'autres domaines, tels que le transport du gaz, la production d'électricité, le développement des sources renouvelables d'énergie.

L'énergie est l'une des composantes principales de la coopération russo-française, estime M. Poutine.

Le PDG de Gaz de France Suez, Gérard Mestrallet, a fait savoir pour sa part que le groupe, créé sous sa forme actuelle il y a un an, a réalisé cette année un chiffre d'affaires de 83 milliards de dollars et que son personnel comptait près de 200.000 salariés.

D'après M. Mestrallet, GDF Suez arrive en première position au monde pour les achats de gaz, dont le gaz naturel liquéfié. Le groupe dispose également du réseau de distribution de gaz le plus long d'Europe et occupe la deuxième place pour le nombre de stockages souterrains de gaz naturel.


Note de l'Editeur : Outre le gazoduc Nord-Stream , le gaz du champ de Shtokman est prévu d'être liquéfié dans une usine construite à Teriberka .
La présence de l'opérateur Franco-Belge va renforcer la position diplomatique des partisans du gazoduc .



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Publié le 27 Juillet 2009

MOSCOU, 27 juillet - RIA Novosti. Le premier ministre russe Vladimir Poutine rencontrera mardi le PDG du groupe énergétique français GDF Suez, Gérard Mestrallet, a annoncé lundi le service de presse du gouvernement russe.

Cette rencontre doit porter sur la coopération ultérieure dans la sphère pétrogazière, le problème de la sécurité énergétique européenne et les questions des rapports entre les producteurs, les transitaires et les consommateurs de ressources énergétiques.

La coopération dans la sphère gazière entre l'URSS (puis la Russie) et la société Gaz de France dont GDF Suez est successeur en droits a commencé en 1976. Le groupe a importé depuis plus de 300 milliards de mètres cubes de gaz. Annuellement, GDF Suez achète à Gazprom export, filiale d'exportation du holding gazier, jusqu'à 12 milliards de mètres cubes.

D'autre part, GDF Suez coopère avec les sociétés énergétiques russes dans des questions telles que l'économie d'énergie et de gaz; la création et l'exploitation de conduites de transport de gaz et de dépôts souterrains; la formation permanente des spécialistes.

Des projets conjoints en matière d'utilisation de gaz naturel liquéfié, notamment en Amérique du Nord constituent un axe prometteur de la coopération.

Il est prévu que GDF Suez entrera avant fin été dans le projet Nord Stream, développé conjointement par le russe Gazprom, les allemands Wintershall Holding et E.ON Ruhrgas et le néerlandais Gasunie.

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Publié le 4 Mai 2009

VYBORG, 28 avril - RIA Novosti. Des munitions et deux voiliers vieux de 200 ans ont été découverts dans la mer Baltique où passera le gazoduc Nord Stream, ont annoncé mardi à Vyborg, non loin de Saint-Pétersbourg, les spécialistes chargés du projet.

"Une vingtaine de munitions conventionnelles ont été découverts dans le secteur où sera construit le pipeline. On en a trouvé une trentaine en Finlande, une en Suède. Trois armes chimiques se trouvaient dans les eaux danoises", a indiqué Neel Strobeck, directrice des projets d'infrastructure de la société danoise Rambøll chargé d'évaluer l'influence du projet Nord Stream sur l'environnement.

"Des armes chimiques ont été abandonnées dans ce secteur (à l'est de l'île de Bornholm). Le gazoduc contournera la zone où sont submergées les munitions. (...) La pose du tuyau n'aura pas d'effet négatif sur l'environnement de cette région", a indiqué Mme Strobeck.

Les spécialistes ont également découvert deux voiliers commerciaux ayant coulé au XVIIe siècle et susceptibles d'intéresser les archéologues, a rapporté l'ingénieur en chef du projet Nord Stream Simon Bonnell. Nord Stream AG en a informé les autorités de la région de Leningradskaïa.

Nord Stream est un itinéraire foncièrement nouveau pour l'exportation de gaz russe vers l'Europe (avant tout vers les marchés allemand, britannique, néerlandais, français et danois), qui reliera Vyborg (Russie) à Greifswald (Allemagne) en contournant les pays de transit traditionnels.

Sa première conduite, longue de 1.200 km et d'une capacité annuelle de 27,5 milliards de mètres cubes, doit entrer en exploitation en 2011. L'opérateur du projet est la société Nord Stream AG enregistrée en Suisse et détenue à 51% par Gazprom, à 40% par les allemands Wintershall Holding et E.ON Ruhrgas et à 9% par le néerlandais Gasunie. Gazprom affirme que les partenaires ont abordé les négociations sur l'adhésion de Gaz de France Suez au projet.

Articles associés :
De Pierre le Grand à GAZPROM

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Publié le 22 Avril 2009

BERLIN, 21 avril - RIA Novosti. Le projet de construction du gazoduc Nord Stream, censé relier sous la mer Baltique les réseaux russe et ouest-européen, avance comme prévu, a annoncé mardi devant la presse le secrétaire d'Etat du ministère allemand de l'Economie et de la Technologie, Bernd Pfaffenbach.

"Le projet avance bien, il y a un débat, mais on est sur la bonne voie  ", a-t-il indiqué à l'issue de la quatrième réunion du groupe de travail stratégique russo-allemand à Berlin.

Institué en 2000, le groupe a pour mission de créer un cadre pour la coopération bilatérale et d'améliorer le climat d'investissement. Le groupe se penche, au cas par cas, sur l'élimination des problèmes entravant les liens économiques bilatéraux.

Nord Stream est un itinéraire foncièrement nouveau pour l'exportation de gaz russe vers l'Europe (avant tout vers les marchés allemand, britannique, néerlandais, français et danois), qui contournera les pays de transit traditionnels.

Sa première conduite, longue de 1.200 km et d'une capacité annuelle de 27,5 milliards de mètres cubes, doit entrer en exploitation en 2011. L'opérateur du projet est la société Nord Stream AG enregistrée en Suisse et détenue à 51% par Gazprom, à 40% par les allemands Wintershall Holding et E.ON Ruhrgas et à 9% par le néerlandais Gasunie. Gazprom affirme que les partenaires ont abordé les négociations sur l'adhésion de Gaz de France Suez au projet.

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Publié le 21 Avril 2009

L'ambasadeur extraordinaire et plenipotentiaire de France en Russie Jean de Gliniasty a rencontré  le PDG de Gazprom Alexei Miller mardi 14 avril au siège de la société à Moscou . La discussion a porté essentiellement sur les perspectives de coopération Franco-Russes dans le domaine de l'énergie . L'ambassadeur De Gliniasty et Alexei Miller se sont félicités de la coopération entre Total et Gazprom dans le projet  Shtokman dans la Mer de Barents .
L'ambassadeur De Gliniasty à égalemment souligné au cours de cete rencontre l'importance du projet Nord-Stream pour la sécurité energétique Européenne .
Au cours de cette rencontre l'ambassadeur de France a souligné que l'accord récent de modernisation du réseau gazier signé entre l'Ue et l'Ukraine pour la modernisation de son réseau gazier ne pouvait se faire sans la participation de la Russie . Un point de vue déja exprimé par la Russie lors de la signature de cet accord ainsique par les principaux partenaires Européens , EON et ENI , de Gazprom .
Au même moment le PDG de GDF Suez , Gérard Mestrallet , a  annoncé l'intêret du groupe dans l'acquisition d'une part minoritaire dans le projet Nord-Stream de gazoduc sous la Baltique . Cette participation pourrait provenir de la cession par EON de 4.5% des parts du projet .
L'opérateur du projet est la société Nord Stream AG enregistrée en Suisse et détenue à 51% par Gazprom, à 40% par les allemands Wintershall Holding et E.ON Ruhrgas et à 9% par le néerlandais Gasunie.Les premiers contacts entre GDF Suez et Gazprom ont commencé au mois de décembre 2008 , avant la crise gazière Russo-Oukraïnienne de janvier 2009 .

Note de l'Editeur :
La visite de l'ambassadeur De Gliniasty ainsi que la prise de participation de GDF Suez dans le projet Nord-Stream sont importants à plusieurs titres .

- Malgres ses difficultés financières liées à la baisse des exportations et du prix des hydrocarbures , c'est une reconnaissance du rôle diplomatique de la société Gazprom , un MAE-bis de la Russie .
- L'ambassadeur de France a désavoué au siège même de Gazprom , le principal objectif visé de l'accord Ue-Ukraine , l'accord passé entre l'Ue et l'Ukraine qui excluait la Russie de la modernisation du réseau gazier Ukrainien . .
- La présence de GDF au sein du projet Nord-Stream est une reconnaissance , au delà des déclarations , du caractère prioritaire de ce gazoduc pour l'indépendance énergétique Européenne . Mis à part l'Allemagne et l'italie , la France qui importe une partie importante de son gaz de Russie était la dernière grande nation Européenne à ne pas s'être prononcé dans ce débat . Il ne reste plus que l'Espagne peu concernée par les importations de gaz Russe . Le soutien de la France sera un élèment de pression important vis à vis de la Suède qui reste le principal opposant au projet .




Liens : On working meeting between Alexey Miller and Jean de Gliniasty ( Communiqué de presse de Gazprom 
             Gaz: la modernisation du réseau ukrainien impossible sans la Russie (ambassadeur de France)
                 GDF Suez in talks with Gazprom on Nordstream stake
             Nord Stream: E.ON pourrait céder 4,5% des parts à GDF

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Rédigé par DanielB

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Publié le 14 Mars 2009

Abstract  : Nord-Stream AG and the Russian minister of natural ressources have launched environemental investigations among the baltic countries on the laying of the " Nord-Stream" pipe .
Pressure now mounts on Sweden from various sides to give its approval of  the project . Even Spain could join the ranks of the nations who support the project as Gazprom and Gas Natural have signed a cooperation deal on the Shtokman project .



Alors que Nord-Stream AG  vient de lancer une série d'enquêtes environnementales en coordination avec le ministère Russe des ressources naturelles dans les cinq états concernés par le passage du gazoduc " Nord-Stream "  , la pression monte sur la Norvége qui reste le dernier opposant au projet . Toutefois comme l'a signalé Victor Zubkov à l'issue d'une réunion la semaine dernière avec la Ministre Suédoise de l'Industrie Maud Olofsson ,  la Russie a rempli toutes les conditions et plus . Alors que déja des gazoducs et des oléoducs existent dans des zones de trafic maritime et ou sont présentes des munitions non-explosées , " Nord-Stream AG " a depensé plus de 100 millions d'Euros en études environementales .
"Ce n'est pas un projet politique, mais économique. Ses auteurs ont cherché à réduire le danger que la pose des tuyaux implique pour l'environnement marin. On utilisera un navire capable d'effectuer ces travaux sans jeter l'ancre. On a également renoncé à la construction d'une plateforme de maintenance près de l'île suédoise de Gotland, à la demande de la Suède" a déclaré le vice-premier ministre Russe .
La Suède qui doit assumer la présidence tournante de l'Ue à partir de juillet 2009  va donc être confrontée à une pression croissante de ses partenaires Européens , Finlande , Danemark et Allemagne  favorables au projet .
Le dernier " soutien " de la Suède à son opposition  , la Finlande , venant de manifester son intêret pour le projet .
Ce changement d'attitude du gouvernemet Finlandais se traduit par un changement de ton dans la presse Finlandaise . 
Celle-ci vient de publier un article qui réduit  à néant les allégations catastrophistes sur l'impact environnemental du projet , une première depuis son annonce .
Les effets négatifs du gazoduc sous-marin seraient limités dans le temps et dans l'espace , lors de la pose de celui-ci et dans la zone de pose .
Jusqu' à présent cette presse s'était fait l'écho des allègations les plus extrémistes sur ce sujet , comme celle du " journaliste " Russe Grigory Pasko .

Un autre pays Européen , l'Espagne , pourraît avoir son mot à dire en faveur du projet . Aprés la visite la semaine dernière du President Dmitri Medvedev et d'Alexei Miller , PDG de Gazprom , en Espagne , le pétrolier Repsol ( dans lequel  LukOil pourrait rentrer au capital   malges l'opposition d'une certaine partie de la classe politique Espagnole ) a manifesté son intêret pour le gaz et pétrole Russe de l'arctique tandis que Gazprom et Gas Natural ont signé un protocole d'accord portant sur le champ gazier de Shtokman . Les Espagnols sont aussi interressés par le champ gazier de la péninsule du Yamal .
Les deux sociétés envisagent une cooperation dans la prospection et l'exploitation en Amerique Latine .
Cet accord est important car l'Espagne avait selon certains observateurs une position " independante " sur le dossier de l'energie en Europe en n'étant pas cliente de la Russie .
Les chantiers navals Espagnols fournissent les sociétés petrolières Russes en navire de classe arctique .

La Pologne quand à elle est entrée dans un phase de renégociation avec la Russie sur les conditions de fourniture et de transit du gaz Russe .

Les principales réticences Suédoises , encouragées en sous-main par les Etats-Unis , d'ordre environnementalistes étant levées par les concepteurs du projet qui ont défini un tracé évitant les zones ou ont été immergées  des munitions à la fin de la seconde guerre mondiale .
Les moyens d'investigation les plus modernes , dont des robots pilotés munis de sonars et de caméras , ont été utilisés pour repérer les munitions immergées .

MOSCOU, 10 mars - RIA Novosti. Le ministère russe des Ressources naturelles a lancé des consultations sur la sécurité écologique du projet de gazoduc Nord Stream, qui reliera la Russie à l'Allemagne sous la mer Baltique, rapporte le service de presse du ministère.

Une lettre d'information sur le début des consultations a été envoyée aux coordinateurs nationaux au Danemark, en Estonie, en Finlande, en Allemagne, en Lettonie, en Lituanie, en Pologne et en Suède. Les cinq pays dont les eaux seront traversées par le gazoduc - Russie, Finlande, Suède, Danemark et Allemagne - pourront s'exprimer sur la sécurité écologique du projet dans le contexte national et international, a annoncé Nord Stream AG, l'opérateur du projet. Les consultations lancées avec l'Estonie, la Lettonie, la Lituanie et la Pologne porteront sur l'éventuelle influence transfrontalière du gazoduc.

Cette étape des consultations internationales prendra fin en juin 2009, selon les organes d'État des neuf pays riverains de la Baltique.

Le gazoduc Nord Stream doit relier le port russe de Vyborg au port allemand de Greifswald sous la mer Baltique. Longue de 1.220 km et d'une capacité annuelle de 27,5 milliards de mètres cubes, sa première conduite sera mise en exploitation en 2011. L'opérateur du projet est la société Nord Stream AG enregistrée en Suisse et détenue à 51% par Gazprom.

Plusieurs pays européens, notamment l'Estonie, la Pologne, la Suède et la Finlande, ont exprimé leur préoccupation concernant les projets de construction du gazoduc, alléguant des risques écologiques




Documents : Animations sur le projet " Nord-Stream "
                         La lettre de Nord- Stream sur les questions de sécurité N°1 ( En Anglais ) 

Articles associès : Tout le monde soutient " Nord-Stream "
                                    Zbiniew Brezinski soutient les opposants au Nord-Stream

Liens : Assessment: limited impact of gas pipeline on Baltic Sea ( HELSINGIN SANOMAT - 13 mars 2009 )
              Medvedev en Espagne : Les paradoxes de l'amitié Russo-Espagnole ( Aanlyse de RIA NOVOSTI )

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Rédigé par DanielB

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Publié le 6 Février 2009




Abstract :
After Angela Merkel's last week backing of the " Nord-Stream " project , Alexander Stubb the Finnish foreign affairs minister said that Finland could give its backing to this project to build a gas pipeline under the Baltic Sea

Aprés le soutient appuyé de la chancellière Allemande Angela Merkel au projet de gazoduc " Nord-Stream " la semaine dernière , c'est le ministre Finlandais des Affaires étrangères Alexander Stubb ( site personnel en Français ) qui vient de déclarer que ce projet de nouveau corridor énergetique  , destiné à approvisionner en gaz  l'Allemagne et l'Europe à partir du champ de Shtokman , est essentiel pour l'avenir énergetique de l'Europe au même titre que le " South-Stream " et " Nabucco " et pourrait donc recevoir l'appui de la Finlande .
Le soutien de la Finlande est important car il brise l' " unité " des nations bordant la Baltique ( Suède , Etats Baltes , Pologne ) en grande majorité opposées à ce projet et qui se retrouvent desormais de plus en plus isolées au sein de l'UE .




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Rédigé par DanielB

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Publié le 22 Janvier 2009

La crise gazière Russo-Oukrainienne a remis sur le devant la necessité de terminer au plus vite la construction du gazoduc Nord-Stream . De nombreux dirigents de sociétés gazières Européennes partagent desormais cet avis , tel Rainer Seele de Wingas .

BERLIN, 22 janvier - RIA Novosti. Rainer Seele, président du directoire de Wingas, un des principaux distributeurs de gaz allemands, juge indispensable la construction du gazoduc Nord Stream censé connecter les réseaux russe et européens par le fond de la mer Baltique.

"C'est un projet novateur, européen et surtout indispensable. Il est prévu de créer une double conduite de 1.200 km sous la mer Baltique et deux embranchements, Opal et Nel", a-t-il expliqué jeudi lors de la conférence annuelle du journal Handelsblatt à Berlin.

Selon lui, les événements de ces dernières semaines liés à la suspension du transit de gaz russe via l'Ukraine vers l'Europe devront persuader la Suède, la Pologne et les pays baltes que "cette liaison directe entre l'Union européenne et les sources de gaz naturel représente une assurance-vie".

"La rupture de l'approvisionnement (en gaz) - dont l'Ukraine est le mot clef - ne peut être résolue qu'à l'aide de gazoducs supplémentaires. C'est pourquoi nous souhaitons que l'Allemagne et l'Europe aient un accès direct au gaz sibérien", a-t-il poursuivi.

"Mesdames et messieurs, le "pays de transit" le plus fiable est la mer Baltique", a lancé le PDG de Wingas, détenu à 50% par Gazprom.

L'Europe a besoin de nouvelles capacités de transport gazier pour couvrir ses besoins croissants, a rappelé M.Seele.

Nord Stream est un itinéraire foncièrement nouveau pour l'exportation de gaz russe vers l'Europe (avant tout vers les marchés allemand, britannique, néerlandais, français et danois), qui contournera les pays de transit traditionnels. Il reliera Vyborg (Russie) et Greifswald (Allemagne) par la mer Baltique.

Sa première conduite, longue de 1.200 km et d'une capacité annuelle de 27,5 milliards de mètres cubes, devait initialement entrer en exploitation en 2010. L'opérateur du projet est la société Nord Stream enregistrée en Suisse et détenue à 51% par Gazprom, à 40% par les allemands Wintershall Holding et E.ON Ruhrgas et à 9% par le néerlandais Gasunie.

Plusieurs pays, dont l'Estonie, la Pologne, la Suède et la Finlande, se déclarent hostiles au projet au motif que la construction du gazoduc présente des risques écologiques. Les experts notent cependant que Varsovie redoute de perdre les profits qu'elle engrange en tant que pays de transit.

Tandis qu pour nos " amis " d'outre Manche , c'est une " conspiration Germano- Sovié.......OUPS ! Russe " .............

MOSCOU, 13 janvier - RIA Novosti. Le géant gazier russe Gazprom réalisera tous ses projets gaziers, y compris le gazoduc Nord Stream, malgré les problèmes du transit de gaz russe via l'Ukraine, a déclaré mardi le vice-président du conseil d'administration de Gazprom Alexandre Medvedev.

"Nous poursuivrons la mise en oeuvre de tous nos projets de production, de transport et de distribution de gaz malgré toutes les menées" (de l'Ukraine), a indiqué M.Medvedev commentant l'éventuel impact de la situation autour du transit de gaz russe vers l'Europe via l'Ukraine sur la construction de nouveaux gazoducs, notamment du Nord Stream.

Le gazoduc Nord Stream doit relier le port russe de Vyborg au port allemand de Greifswald sous la mer Baltique. Sa première conduite, longue de 1.200 km et d'une capacité annuelle de 27,5 milliards de mètres cubes, devait initialement entrer en exploitation en 2010. L'opérateur du projet est la société Nord Stream enregistrée en Suisse et détenue à 51% par Gazprom.

"La situation actuelle confirme une fois de plus qu'il faut diversifier les itinéraires d'exportation et diminuer les risques des pays de transit, parce que nous sommes déjà confrontés à des risques ingérables. Des risques ingérables tant au niveau bilatéral qu'au niveau multilatéral, quand nous et nos partenaires européens essayons de rappeler un pays de transit à l'ordre", a noté M.Medvedev.

"Plus vite nous réaliserons les projets comme Nord Stream ou South Stream (allant de la mer Noire en Russie jusqu'à l'Italie via les Balkans), moins de risques nous prendrons dans l'avenir", a conclu le responsable de Gazprom

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Rédigé par P@lp@tine

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Publié le 10 Janvier 2009

La mauvaise foi du gouvernement Oukraïnien a remis sur la table ( du plateau continental ) la necessité pour l'Europe non inféodée à Ouachintonne de mettre en service au plus vite le gazoduc Nord-Stream afin de lever cette hypothèque Oukrainienne . Ce pacte énergetique Germano-Russe provoque une levée de protestations en Albion .
Témoin cet article du " Telegraph " qu évoque desormais la possibilté d'un " complot " Germano-Sovié....... OUPS ! Germano-Russe . Apres avoir essayé de dresser l'Allemagne contre la Russie , les chefs politiques Anglais crachent désormais leur bile . Qui a dit que les " Godzillas géopolitiques " Eurasiens plusieurs fois centenaires ne se réveillent jamais ?
L" Europe unie " dont rêvent les Ang£o-$axons , c'est une Europe sous leur contrôle et certainement pas une Europe indépendante ou la France et l'Allemagne seraient les " prima inter pares " .
" It may well be that, whatever the deal on the latest Ukraine crisis, Russia has won by dividing Europe to rule via Germany and Nord Stream
Ce n'est pas nouveau et sans remonter au XIX eme siècle , vers lequel des analystes évoquent un retour , on peut se référer à la période de la " chute du Mur " qui aura bientôt 20 ans : En 1989 des voix s'étaient faites entendre au sein de la " diplomatie " Britannique qui menaçaient un " GrossDeutschalnd " d'une intevention Anglo-Franco-Soviétique en cas de la venue d'un " IV Reich " .
L'urgence d'une alliance " Kontinentale"  , voir " Tricontinentale" avec l'Afrique y compris sur le plan énergetique , est plus que jamais d'actualité pour s'opposer à l'interventionisme Anglo-Saxon et la mise en cause de l'existence d'une Europe ( réellement ) indépendante .









 

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Rédigé par DanielB

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