petrole et gaz dans l'arctique

Publié le 16 Mars 2009

Abstract : The governor of the Yamalo-Nenets Okrug , Yuri Neelov , announces that there will not be drop in the gaz production for 2009 in the Yamal peninsula . Italian ENI hopes Yamal peninsula will be Italy's major gaz supplier for the coming decades .


LABYTNANGUI (Nord de la Sibérie occidentale), 16 mars - RIA Novosti.
 La production gazière dans la presqu'île de Yamal, qui totalise le nombre le plus important de gisements en Russie, ne connaîtra pas de réduction en 2009, a annoncé lundi devant la presse le gouverneur de l'Arrondissement des Nenets de Iamal, Iouri Neelov. "Notre production, qui atteint actuellement 570 milliards de mètres cubes, doit s'établir à 590 milliards en 2009", a indiqué le gouverneur. Selon lui, les réserves globales de la presqu'île approchent 125.000 milliards de mètres cubes. Depuis le lancement de la production gazière à Iamal, on a produit 14.000 milliards de mètres cubes, a précisé M. Neelov. "Cela représente un peu plus de 10% des réserves globales de la presqu'île", a poursuivi le gouverneur, ajoutant qu'on aurait donc tort d'affirmer que les gisements de gaz en Russie s'épuisent. Selon M. Neelov, sur les 230 gisements découverts dans la presqu'île, 163 sont en production, les autres sont encore préparés en vue de leur mise en valeur .

Liens associés : Les Italiens dans l'arctique Russe

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Rédigé par DanielB

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Publié le 15 Mars 2009

Abstract : The Norwegian Petrostate company StatOilhydro , in which  the state has increased its participation up to 67% , has to face hardships .
The Melkoya liquefaction plant will have to close two monthes , and more certainly 80 days , to allow technicians resolve problems on heat exchangers . These problems affect the station since its start-up an lead the staff of Shtokman AG to reject the technology used by StatoilHydro for the Teriberka liquefaction plant .
The global market price on oil has dropped more than 100 USD over the last nine months. That might now force StatoilHydro to stall 40 planned projects. Executives from StatoilHydro  call on the entire Norwegian petroleum industry to cut costs.
Russian majors which face same threats decided to " Russify " their supliers to reduce costs .

La pétrostatale Novégienne StatoilHydro , ou l'Etat Norvègien vient d'augmenter sa participationà la hauteur de 67% ( contre 62% auparavant ) en dépensant 19.3 millions de Couronnes pour l'acquisition de 143.4 millions d'actions , doit faire face  à des difficulés sur plusieus fronts .

- La station de liquéfaction de gaz de Melkoya ,  qui assure la liquéfaction du gaz en provenance du gisement de Snøhvit dans la Mer de Barents ,  devra fermer pour au moins deux mois ,et probalement pour 80 jours  à partir de la mi-août pour essayer de résoudre des problèmes techniques réccurents depuis le début de son exploitation sur des échangeurs de chaleur qui présentent des fuites .
Les problèmes techniques réccurents sur cette station de liquéfaction ont amené les dirigeants de Shtokman AG , le consortium chargé du développement du champ gazier de Shotkman,  a rejeter la technologie utilisé par StatoilHydro pour la sation de liquéfaction de Teriberka .

- La baisse du prix des hydrocarbures pourraît amener StatoilHydro a revoir et différer prés de 40 projets sur le plateau continental Norvègien dont la profitabilité necessite un prix du baril au moins égal à 70-75 USD et non pas 40 USD sur une periode qui , selon certais experts Norvègiens , pourrait s'éterniser .
Les responsables de StatoilHydro appelent tous les acteurs et surtout les fournisseurs de l'industrie pétrogazière Norvègienne à opérer  des réductions drastiques de couts pour faire face à une periode de prix bas des hydrocarbures .
Faisant face à des problèmes similiaires de couts dans un contexte de prix des hydrocarbures en berne , les responsables des majors Russes du pétrole et du gaz dans l'arctique se sont orienté vers une " Russification " de leurs fournisseurs .

 


Liens : Le projet d'usine de liquéfaction de Melkoya







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Rédigé par DanielB

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Publié le 25 Février 2009

Abstract : After the autorization given for a new whaling season , the " Red-Green Icelandic Khmers " are making a " culural revolution " on another issue : Arctic off-shore drilling and exploitation  . Areas in the Dreki zone , near the Jan Mayen rift on the Icelandic continental shelf , will be licensed for off-shore exploration in the coming days .

Décidemment il ne fait pas bon être écologiste en Islande ces derniers temps , même si l'on est au gouvernement  ! L'Islande se lance à son tour dans la chasse aux hydrocarbures dans l'offshore arctique . Le gouvernement Islandais en la personne du ministre de l'Industrie Ossur Skarphedinsson a décidé de relancer la prospection sur le plateau continental dans la zone connue sous le nom de Dreki . C'est l'une des régions du monde encore pratiquement inexplorée mais des forages y ont déja donné des indices de pétrole et de gaz dans des structures geologiques comparables à celles du plateau continental Norvègien.
" Malgrès notre mauvaise situation financière , nous devons explorer les potentialités de la région de Dreki . Beaucoup d'investisseurs du secteur pétrolier ont les yeux rivés sur l'Islande maintenant " a déclaré le ministre .
L'Islande participera à l' American Association of Petroleum Geologists Prospect and Property Expo 2009 qui se tiendra à Londres du 3 au 5 mars 2009  ou les dernières donnée sur  la région de Dreki seront présentées .
Des licences d'exploration seront prochainement mises aux enchères par le gouvernement Islandais .

Note de l'Editeur : Si les nouveaux chefs politiques Islandais ne remettent pas en cause complétement une économie " tertiairisée " et " post-industrielle " basée sur le financièrisme , leur (re)conversion graduelle vers une économie diversifiée vers le secteur secondaire ( métallurgie de l'aluminium ) et primaire ( pêche , extraction minière ) dans un intervalle de temps très court témoigne de l'ampleur avec laquelle la crise a frappée cette île et de la necessité de remettre en question les modèles de développement existants .
Alors que chez nous , aux Antilles , se pose  aussi la question d'une réorientation de l'économie voir de la définition d'un nouveau modèle économique , l'exemple Islandais serait à méditer ! On ne peut s'empêcher de faire le lien entre les " Békès " et  " Les hommes aux gros cigares " que dénonçaient les manifestants dans les rues de Reykjavik .Les chefs politiques Islandais semblent  , en partie , faire taire leur dogmatisme environementaliste et faire preuve de pragmatisme en matière économique . Tout simplement pour survivre politiquement .



Article associé :  L'Islande va continuer à chasser la baleine !
Liens : Le site de l'Autorité Nationale Energétique Islandaise 

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Rédigé par DanielB

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Publié le 8 Février 2009

Abstract : As a public opinion poll shows that 80 % of the Norwegians agree with arctic oil and gaz drilling , StatoilHydro , the Norwegian oil and gaz major makes public it's planing for its activities in the region which will expend further North : Joint venture with Russian Gazprom in the Yamal peninsula ,  a new arctic capable exploration wessel , more cooperation with the Norwegian armed forces .

Alors qu'un sondage ( d'opinion publique ! ) vient de réveler que 80% des Norvègiens  se déclarent favorables à l'exploittaion pétrogazière dans l'Arctique ,la pétrostatale Norvègienne StatoilHydro vient de réveler quelques uns de ses plans pour son activité dans la région .





Partenariat avec la Russie au  Yamal .


La firme Norvègienne est interréssé par un partenariat avec GAZPROM pour l'exploitation des réserves off-shore de la peninsule du Yamal . Selon un communiqué de M . Bengt Lie Hansen lereprésentant de la société en Russie " Nous sommes à la recherche d'opportunités sur le plateau continental Arctique . Cette recherche prend en compte le Yamal " .
GAZPROM qui pour l'instant ne s'intéresse qu' à l' on-shore de la péninsule du Yamal avec le gisement de Bovanenkovo , a noué des contacts avec Exxon Mobil , ConocoPhillips et Royal Dutch Shell pour la construction d'une usine de liquéfaction de gaz .
StatoilHydro est partenaire de GAZPROM dans le projet de Shtokman dans la Mer de Barents à la hauteur de 24% et  avec le Français TOTAL pour 25%

Un nouveau navire d'exploration pour l'Arctique

A la conférence " Arctic Frontiers " qui s'est tenue à Tromso à la fin du mois dernier  ,la pétrostatale Norvègienne a réaffirmé d'aller " chercher toujours plus au Nord " ses futures  réserves de pétrole et de gaz .
Afin de procéder à de nouvelles campagnes d'exploration , StatoilHydro a confirmé ses études pour un nouveau navire de prospection destiné à opérer dans les conditions les plus dures de glace . Baptisé our le moment " Arctic Drillship " ( ! ) , le projet n'en e pour le moment qu'à la definition des solutions technologiques . On pourra noter sa ressemblance avec le projet Européen " Aurora Borealis " de navire de recherche arctique .



Une copération accrue avec les forces armées Norvègiennes .

Au cours de la conférence " Arctic Frontiers " ,le contre-amiral Trond Grytting a annoncé que la coopération des forces armées Norvègiennes avec les sociétés opérant dans l'Arctique Norvègien , et plus particulièrement avec StatoilHydro , allaient se renforcer dans les domaines du secours en mer ( evacuation du personnel des plateformes ) et de la protection de l'environnement .  Le contre-amiral Trond Grytting a évoqué la question sécuritaire et le role des forces armées dans le développement de l'industrie pétrogazière dans l'Arctique comme la protection des stations de liquéfaction ou celle du trafic maritime  . On ne peut que noter la proximité de la thématique de la coopération entre la Marine Norvègienne et StaoilHydro et l'agenda de l'OTAN pour cette région développé lors de la  conférence de Reykjavik . Cette proximité est une fenêtre ouverte pour la militarisation de la région par l'Alliance .



Les activités pétrogazières Norvégiennes ( exploration,production, transport , distribution ) générent un CA de 135milliards de Couronnes et empoient prés de 250 000 personnes . La plupart des Novègiens expriment une grande confiance dans leur secteur pétrogazier et considérent que l'exploitation dans l'Arctique Norvègien sera profitable à la région .Pour le président de la Conféderation Norvégienne des enteprises ( NHO ) ,  Finn Bergesen , le développement des activités petrogazières constituera le " 4eme age industriel de la Norvège " .
Le 1er fut la création de la Société NorskHydro en 1910 qui fut la première multinationale Norvègienne , le 2eme étant la reconstruction du pays aprés la seconde guerre mondile , le 3eme la mise en valeur des premiers gisements off-shore au début des années 70 .
Il souligne qu'à l'époque la Norvège avait besoin du capital et du savoir-faire technoogique étranger pour cette industrie alors qu'aujourd'hui la Norvège finance des projets à l'étranger et exporte son savoir faire .
De la même manière le profeseur d'économie Rögnvaldur Hannisson  a créé la polémqiue avec ses déclarations trés controversées à propos des projets pétroliers des îles Lofoten .
" Si un accident , peu probable , survient en pleine période de reproduction de la morue dans cette région , il n'affecterra au maximum qu'un quart de la population . Cette perte représenterait 300 millions d'Euros  alors que les bénéfices retirés de l'exploitation pétrolière représentent 50 milliards d'Euros  "

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Rédigé par P@lp@tine

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Publié le 1 Février 2009

Abstract : In a press release GAZPROM confirms the schedule for its two main off-shore projects in
the arctic : Shtokman and Prirazlomnye contradicting pessimistic rumors . Mr . Herve Madeo of Shtokman Development AG reveals at the " Arctic frontiers " conference held in Tromso last week new exclusive details on the technology to be used for Shtokman field .
The technology used by StatoilHydro for it's LNG plant in Melkøya will not be chosen because of overcosts and repetitive technical problems still unsolved .

Dans un communiqué de presse en date du 26 Janvier
, la société GAZPROM confirme les délais de mise en exploittaion des deux principaux champs pétrogaziers off-shore de l'Arctique Russe : Le champ petrolier de Prirazlomnoye sera mis en exploittaion dés 2011 et le champ gazier de Shtokman dés 2013 . La compagnie prevoit toutefois un réechelonnement de des projets dans l'Arctique sur la péride 2010-2030 .
Ce  communiqué vient apporter un dementi à l'interviouve accordée par Thomas Berndt de Shtokman Development AG  à une revue pétrolière Norvègienne le 21 janvier  qui annonçait comme " peu probable " la mise en service de la plateforme  pour 2013 .
Ce communiqué de presse est un signal fort de l'intêret de la société pour l'Arctique ainsi que des investissements qu'elle compte y réaliser .
GAZPROM posséde aujourd'hui 13 licences dans la région et ses réserves sont sont accrues de 1.5 milliard TEP durant la période 2005-2008 et elle compte les accroître de 5.6 milliards TEP sur la periode 2009-2020 .

Concernant l'usine de liquéfaction prévue sur le site de Shotkman dont les travaux préparartoires ( fouilles ) ont commencé en mai 2008  M.Herve Madeo , Vice-president de Shtokman Development AG a annoncé à la conférence Arctic Frontiers que la compagnie rennonçait à utiliser la technologie utilisée par StatOil pour le terminal gazier de Melkøya ( Snøhvit ) en raison des multiples problèmesrencontrées par celle-ci .
Alors que Statoil Hydro annonçait en 2006 un retour sur investissement de trois ans pour cette usine de liquéfaction , les previsions les plus optimistes tablent desormais sur huit ans minimum pour rentabiliser ce projet . Le projet affiche desormais un cout de 74.4 milliards de Couronnes ( 8 milliards d'Euros ) . En 2006 StatOil Hydro estimait les réserves à une valeur de 400 milliards NOK (EUR 43,5 milliards ).
Depuis l'usine a du face à des surcouts et à des problèmes techniques d'origines inconnues et elle ne sera opérationelle qu'à 80% en 2009 . StatoilHydro a du aussi faire face à une baisse de 50% du prix spot du gaz liquéfié .
Toutefois le gaz dans l'Arctique est rentable puisqu' au cours actuel du GNL ce projet pourrait générer sur 30 ans des revenus de 280 milliards NOK(EUR 30,4 milliards ) pour StatoilHydro .
L'usine de liquéfaction pour le champ gazier de Shotkman sera située à Teriberka à 120 Kms de Mourmansk et sera reliée par un gazoduc de 550 Km au champ gazier .

Vous pouvez consulter la presentation du projet par M. Madeo sur ce lien .

M . Madeo a égalemment confirmé que l'impacte économique du projet sera essentiellement limité à la Russie , pour la région de Mourmansk principalement , et n'aura que peu d'impact pour la région Norvégienne du Finnmark . Voilà qui av encore contenter nos amis de " Bellona " !
Cette mise au point vienta aussi infirmer les declarations de M Thomas Berndt qui affirmait que les ports Norvègiens de Kirkenes et Hammerfest pourraient être utilisés comme base arrière pour le projet .
De la même manière les contractants Norvégiens ne seront choisi que s'ils offrent le meilleur rapport qualité-prix pour leur services .


 



Lors de cette conférence d'autres détails ont filtrés sur le projet : Un total de 220 icebergs ont été recensés dans la region du champ gazier de Shtokman ces derniers 48 ans . En 2003 on en a recensé 15 dont le deux avaient une masse  avoisinant 3 millions de tonnes .
La temperature oscille entre +15°Cl'été et 45°C l'hiver et l'epaisseur de la banquise atteint en moyenne 2 mètres .
Pour faire face à ces contraintes techniques les ingénieurs envisagent la construction d'une plateforme  ayant la forme d'un navire et qui pourrait être déconnectée de la tête d'exploitation en cas de danger .
Environ 320 personnes travailleront pour exploiter le champ gazier , 200 sur la "plateforme " et 120 dans des installations à terre .
Les informations présentées par M.Madeo sont les plus complétes à ce jour sur le projet , les partenaires du projet ( Gazprom ,  Total et  StatoilHydro ) restant assez discrets .

 





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Rédigé par DanielB

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Publié le 30 Janvier 2009

La récente crise gazière entre la Russie et l'Oukraïne a montré la nécessité pour l'Europe et la Russie de s'affranchir de l'hypothèque Oukrainienne . Une des possibilités est le gazoduc Nord-Stream dont la mise en service est desormais impérative . En attendant cette échéance , GAZPROM a contacté les responsables de la société Norvégienne GASSCO afin de pouvoir utiliser son réseau pour acheminer le gaz Russe au travers de son réseau .

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Rédigé par P@lp@tine

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Publié le 26 Janvier 2009

Absract :  Sevmorneftegaz.ru , the site which describes.........in Russian  the most important oil and gas Russian projects in the Arctic Ocean , mainly Shtokmanskoye  and Prirazllomniye .
New informations to come on Ice Station Zebra after " Arctic Frontiers " confrence held in Tromsoe last week .

En attendant un nouvel article sur l'actualité de Shtokman compte tenu des travaux de la conférence " Arctic frontiers " , une carte permettant d'avoir une vision globale des projets petrogaziers Russes dans l'Arctique , et plus particulièrement ceux de Shtokman et Prirazlomniye .
Depuis le site Sevmorneftegaz.ru ( Severniy Morie Neft i Gaz : Petrole et gaz dans l'Ocean Arctique [ La Mer du Nord ] ) .
Ce site decrit , en Russe Grrrrrrrrrr , les projets petrogaziers Russes avec des illustrations 3D ad-hoc .

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Rédigé par P@lp@tine

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Publié le 23 Janvier 2009

CALGARY - Ottawa propose de contribuer au financement du gazoduc Mackenzie, projet de plusieurs milliards de dollars qui a été retardé par des questions de réglementation et des dépassements de coûts.

 

Jim Prentice, ministre fédéral responsable des conduites de gaz, n'a pas voulu préciser, lundi, l'importance de la somme offerte par le gouvernement fédéral, expliquant à des journalistes que des négociations étaient encore en cours à ce sujet.

 

"Je ne vais pas négocier via les médias, mais l'offre que nous avons soumise est raisonnable", a déclaré M. Prentice, qui est aussi ministre de l'Environnement.

 

L'offre fédérale inclut une contribution en vue de la construction d'infrastructures - telles que des pistes d'atterrissage - devant rendre plus accessible la région de l'Arctique.

 

Ottawa partagerait également avec les producteurs les "risques et rendements", quoique M. Prentice ait refusé de dire quelle proportion du projet le gouvernement aimerait contrôler.

 

Le ministre a indiqué que les sommes avancées par le fédéral ne feraient pas partie des mesures de relance de l'économie devant être inclues dans le prochain budget, dont le dévoilement est prévu le 27 janvier.

 

Le projet gazier Mackenzie est mené par l'Impériale (TSX:IMO), société jointe par ConocoPhillips (NYSE:COP), ExxonMobil (NYSE:XOM) et Shell Canada (NYSE:RDS), de même que par trois collectivités autochtones de la région.

 

L'exploitant de gazoduc TransCanada (TSX:TRP) détient également une participation dans le projet grâce à son investissement dans Aboriginal Pipeline Group (APG).

 

Lundi, M. Prentice a rencontré des représentants d'APG, de l'Impériale, de ConocoPhillips, Shell Canada et MGM Energy, qui exploite des champs de gaz naturel dans la région.

 

Si sa construction est menée à bien, le gazoduc, d'une longueur de plus de 1200 kilomètres, permettra de faire parvenir du gaz naturel de l'embouchure du fleuve Mackenzie, dans les Territoires du Nord-Ouest, jusqu'à la frontière de l'Alberta, à partir de laquelle il serait acheminé au moyen du réseau actuel de TransCanada.

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Rédigé par P@lp@tine

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Publié le 17 Janvier 2009

Le WWF ne semble pas de l'avis de " Bellona " sur la  " propreté " du pétrole Norvégien .

Le Fonds mondial pour la nature (WWF) et d'autres organisations écologiques ont lancé samedi une campagne pour interdire l'exploitation du pétrole dans les îles Lofoten, un archipel situé dans l'Arctique norvègien.

Le but de cette campagne est de dire au gouvernement norvégien qu'il n'est pas acceptable d'ouvrir cette zone à l'exploitation du pétrole", a déclaré à l'AFP le porte-parole du WWF, Clive Tesar.

La Norvège est le cinquième exportateur mondial de pétrole,
mais il a vu sa production décliner depuis 2001 et aucune découverte de gisement majeur n'a été faite récemment.

Les compagnies pétrolières ont donc des vues sur les îles Lofoten depuis quelques temps, mais les défenseurs de l'environnement et les pêcheurs sont opposés à l'exploration pétrolière dans cette zone .

Les eaux des îles Lofoten sont le refuge de la plus grande réserve mondiale de morues, une espèce victime de la surpêche en Europe comme en Amérique du Nord , ainsi que du plus grand stock de harengs.

Le gouvernement, sous la pression des défenseurs de l'environnement a interdit toute prospection dans cette zone protégée jusqu'à au moins 2010, avant que le sujet ne soit rediscuté.

"Le gouvernement norvégien doit déclarer cette zone à l'abri de la prospection de pétrole et de gaz", a indiqué le responsable du WWF en Norvège, Rasmus Hanssen, dans un communiqué.

WWF a déjà mené des campagnes similaires en Alaska et en Russie  pour interdire le développement de l'exploitation offshore de pétrole et de gaz dans l'Arctique.

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Rédigé par DanielB

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Publié le 11 Janvier 2009

A peine les réjouissances marquant la victoire du " AAP " sur le référendum pour une autonomie élargie sont elles terminées que déja les doutes s'emparent d'une partie de la classe politique Groenlandaise .
Le leader du Parti Démocrate Groenlandais Jens B. Frederiksen a critiqué le discours du nouvel an du  premier ministre Hans Enoksen qu'il trouve " trop optimiste " sur les retombées des dividendes tirées d'hypothétiques découvertes minérales . Selon Jens B. Frederiksen il faudra attendre au moins 20 ans pour que ces dividendes irriguent l'économie Groenlandaise .
Les opposants à une autonomie élargie ont mis en avant la " sécurité " des subventions versées par le Danemark par rapport aux " mirages " de la manne pétrogazière et minière .
Au même moment Hans Kristian Olsen de la compagnie Nuna-Oil , qui posséde des participations dans 13 projets , annonce un vaste programme d'exploration de la côte ouest de l'île .
En 2009 , les champs  Atammik et lady Franklin dont les licences sont détenues depuis 2005 par NunaOil,  le Canadien EnCana et l'écossais Cairn verront les premiers forages exploratoires .
Cette année verra la mise aux enchères de licenses d'exploration et d'exploitation sur une superficie trois fois plus grande que le Danemark . Treize compagnies , dont les multinationales Esso et Chevron , ont bénéficiées de licences d'exploration et d'exploitation off-shore dans un zone s'étandant de la Péninsule de Nuussuaq au Nord jusqu'au camp Farewell au sud .
La présence de " majors " dans l'exploration permet de compenser les renoncements exprimés par des compagnies de petite taille comme Angus andamp ,  Ross, Crew et Quandra Mining qui ont du mette en stand-by leurs projets car elle n'ont pas pu , dans un contexte de crise économique et de baisse des cours des hydrocarbures , lever des fonds suffisants sur le marché des capitaux .


.
" Les compagnies pétrolières internationales regardent le Groenland comme la dernière region inexplorée dans le monde ou il y a une chance de trouver du pétrole et du gaz . Elles pensent à long terme en sachant qu'il peut s'écouler des années entre l'exploration et la première gouute de pétrole mise sur le mraché " déclare Steve Olsen .

" La crise financière et les fluctuations des cours des hydrocarbures n'ont pas de prise sur nos projets au Groenland . Nous avons comme objectif les 10 ou 15 prochaines années " réenchérit Jan Terje Edvardsen le responsable de l'exploration de Dong Energy la pétrostatale Danoise détentrice de la license  , en compagnie de Chevron Greenland Exploration, Exxon-Mobil Exploration Greenland limited et NunaOil , du champ de Puilasoq au large de l'île de Disco

2008 a été une année record depuis le milieu des années 70 pour la prospection pétrolière sur le plateau continental Groenlandais .
Un seul forage de prospection d’hydrocarbure coûte entre 33,6 et 40,3 millions d’euros .Les premières projections indiquent que la découverte d’un champ pétrolier de 2 milliards de barils rapporterait 9,4 milliards d’euros au Groenland.

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Rédigé par P@lp@tine

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