Publié le 4 Juillet 2008
Selon le PDG de GAZPROM , le prix du gaz Russe atteindra 500 $ les 1000 m3 à la fin de l'année , avant d'atteindre 1000 $ les 1000 m3 dans un avenir proche .
Blog initialement consacré à la géopolitique de l'Arctique . Il traite désormais de l'actualité politique , economique , socio-culturelle , historique et militaire et présente des analyses " non conformistes " .Il ne pretend pas à l' " objectivité " mais presente un point de vue alternatif , en opposition avec les pretendues " analyses " syndiquées des " mediats libres " des " democrassies occidentales "
Publié le 4 Juillet 2008
Selon le PDG de GAZPROM , le prix du gaz Russe atteindra 500 $ les 1000 m3 à la fin de l'année , avant d'atteindre 1000 $ les 1000 m3 dans un avenir proche .
Publié le 3 Juillet 2008
Les majors du secteur Petrogazier Russe ( Gazprom , LUKoil ) et minier ( Norilsk Nickel ) misent sur réchauffement de l'Arctique et investissent dans l'achat de navires avec des capacités brise-glace .
Durant les cinq dernières années entre 47 et 50 navires naviguent sur la route maritime Nord , et on pense qu'ils seront plus de 180 dans un proche avenir . Norisk Nickel vient ainsi de commander 5 cargos de 14 500 tonnes et de classe ARC7 auprés d' Aker yard .
Publié le 3 Juillet 2008
C'etait à prevoir ! Malgres les dénegations des " experts " , GAZPROM envisage bien une reorientation de ses exportations de gaz vers l'Asie . L'attitude aplaventriste des Européens devant les diktats Etazuniens ne semble pas être étrangère à ce choix strategique de GAZPROM .
Pour le tracé des différents gazoducs , je vous invite à aller sur l'excellent site d'Alexandre Latsa .
MOSCOU, 17 juin - RIA Novosti. Le géant gazier russe Gazprom envisage d'accroître ses fournitures de gaz en Asie du Nord-est à l'horizon 2020, a annoncé mardi Vlada Roussakova, une responsable du holding russe, lors de la conférence "La Russie sous l'emprise des changements".
"Les fournitures de gaz sur le marché d'Asie du Nord-est s'élèveront pour atteindre 50% des livraisons européennes", a-t-elle dit, mentionnant parmi les marchés les plus prometteurs la Chine où la demande constituera 250 milliards de mètres cubeà l'horizon 2020, et le Japon, intéressé par le gaz liquéfié.
MOSCOU, 3 juillet - RIA Novosti. Le prix des 1.000 mètres de cubes de gaz transportés par le gazoduc Altaï en Chine dépassera de 10-15 dollars le tarif pour l'Europe, a annoncé jeudi le vice-président de la Douma russe (chambre basse du parlement), président de la Société russe du Gaz Valeri Iazev.
"On examine actuellement la question du gazoduc Altaï. Le coût à la frontière avec la Chine sera supérieur au tarif à la frontière avec l'Europe", a fait savoir Valeri Iazev au cours d'un duplex TV Moscou-Pékin organisé par RIA Novosti. Selon lui, une telle différence de prix est due à la spécificité routière du trajet du gaz (de la région de Tioumen jusqu'à la frontière chinoise). Selon le chef du monopole gazier russe Gazprom, Alexeï Miller, le coût moyen des 1000 mètres de cubes de gaz se situera à 400 dollars en 2008. La Russie envisage de livrer 68 milliards de mètres de cubes de gaz en Chine à l'horizon 2020.
Long de près de 2.700 kilomètres, le gazoduc Altaï partira des gisements de Sibérie occidentale et traversera les arrondissements des Nenets de Yamal et des Khanty-Mansis, les régions de Tomsk et de Novossibirsk et la République de l'Altaï pour relier la région du Xinjiang-Ouïgour, dans l'ouest de la Chine. Il devrait permettre d'acheminer chaque année de 30 à 40 milliards de mètres cubes de gaz naturel.
Publié le 3 Juillet 2008
Publié le 3 Juillet 2008
Publié le 3 Juillet 2008
Alors que Gazprom vient d'annoncer qu'il allait investir de plus en plus dans la prospection , je vous invite à aller visiter le site d'Alexandre Latsa qui fait un point sur cette entreprise , ses gisements et les projets de gazoducs .
Publié le 3 Juillet 2008
Publié le 2 Juillet 2008
Publié le 1 Juillet 2008
MOSCOU, 30 juin - RIA Novosti. Comme prévu, le coup d'envoi aux négociations sur un nouvel accord Russie-UE a été donné à Khanty-Mansiïsk, mais un scandale inattendu a néanmoins éclaté: au cours du Congrès des peuples finno-ougriens qui a suivi le sommet russo-européen, le président estonien Toomas Hendrik Ilves a appelé les petits peuples de la Russie à l'autodétermination, lit-on lundi dans les quotidiens Nezavissimaïa gazeta et Vedomosti.
S'entretenant avec Dmitri Medvedev lors de la première rencontre entre dirigeants russe et estonien depuis 14 ans, Ilves avait proposé de réduire la rhétorique publique dans les rapports bilatéraux. Mais, en prenant la parole au congrès, le président estonien a soudain déclaré: "Nous (Estoniens) avons opté pour la liberté et la démocratie. De nombreux peuples finno-ougriens auront également à faire ce choix".
Konstantin Kossatchev, président du comité des Affaires internationales de la Douma (chambre basse du parlement russe), a immédiatement réagi à la déclaration du chef de l'Etat estonien qui sous-entend, selon lui, une invitation à songer à l'autodétermination. M. Kossatchev estime que cela est indigne d'un président, "qui ne comprend pas la différence entre la politique interétatique et interethnique". Après les propos critiques tenus par Konstantin Kossatchev au congrès sur l'oppression des Russes dans les pays baltes,la délégation estonienne a quitté la salle. "Après cela, il faudra attendre à nouveau 14 ans avant que nos présidents se rencontrent", a prédit un membre de la délégation russe.
De l'avis de Valeri Tichkov, directeur de l'Institut d'ethnologie et d'anthropologie de l'Académie des sciences russe, l'idée même d'une communauté du monde finno-ougrien est très vulnérable du point de vue politique. "C'est une chose en Hongrie, en Finlande et en Estonie, où ces peuples forment la nation, c'en est une autre en Russie où ils constituent des minorités. Dans l'ensemble, la situation des peuples finno-ougriens [en Russie] n'est pas aussi catastrophique que certains le font croire. Ils disposent de toutes les formes d'autodétermination intérieure, de leurs propres autonomies ethniques territoriales, ils bénéficient d'un soutien sur le plan social et dans les domaines de l'enseignement et de la culture. Proposer l'autodétermination jusqu'à la création de son propre Etat est une forme cachée de séparatisme. L'Estonie elle-même n'admet pas l'autodétermination des Russes ou de la petite minorité finno-ougrienne résidant sur son territoire".
"Il n'y a aucun problème politique dans ce domaine, encore moins brûlant, estime Konstantin Voronov, chercheur à l'Institut d'économie mondiale et de relations internationales de l'Académie russe des sciences. C'est un problème "en sommeil" que nos partenaires estoniens souhaiteraient politiser".
D'après Dmitri Souslov, vice-directeur scientifique du Conseil pour la politique étrangère et militaire, "ce scandale ne peut pas se répercuter radicalement sur les rapports russo-estoniens qui laissent déjà à désirer et qui ne se sont pas rétablis après l'histoire du Soldat de bronze". Certes, un nouveau coup a été porté à la perspective de normalisation des rapports entre les deux pays, a fait remarquer l'expert: "L'Estonie entravera probablement les négociations sur un nouvel accord stratégique et fera traîner en longueur sa ratification".
Cet article est tiré de la presse et n'a rien à voir avec la rédaction de RIA Novosti