Le point de vue de l'Assemblée de l'Union de l'Europe Occidentale sur les problèmes de sécurité dans le Grand Nord
Publié le 21 Juillet 2008
Avant de partir en vacances , le point de vue de l'assemblée de Union de l'Europe Occidentale , un clone de l'Assemblée parlementaire de l'Organisation Terroriste de l'Atlantique Nord , sur la sécurité dans le Grand Nord .
Rien de nouveau sous le soleil ( de minuit ) par rapport à ce que vous avez pu lire dans ce blogue .
Les changements climatiques risquent d'avoir un impact non négligeable sur les questions de sécurité dans la région. La diminution de la banquise va libérer de vastes zones maritimes au profit du transport, de l'exploitation de ressources naturelles et d'objectifs militaires qui pourraient changer l'architecture sécuritaire de la région. Elle va aussi donner accès à de nouvelles portions de plateau continental pour exploiter le gaz et le pétrole. Dans des territoires au statut juridique mal défini, il pourrait y avoir des litiges en matière de sécurité. De plus, la fonte des glaces peut permettre l'ouverture de nouvelles routes commerciales comme le Passage du Nord-Ouest et le Passage du Nord-Est (qui réduit la distance entre Londres et Tokyo de 7 600 km). Ainsi se présentent de nouvelles opportunités, mais aussi de nouveaux défis. Mais l'intensification de la navigation, notamment du trafic des pétroliers, engendre un risque plus élevé pour l'environnement. En cas d'accidents, des catastrophes écologiques majeures peuvent gravement frapper des Etats riverains. Enfin, les zones maritimes non gelées peuvent donner lieu à de nouvelles utilisations militaires. Dans son documentaire intitulé « Une vérité qui dérange », l'ancien Vice-Président des Etats-Unis Al Gore mentionne les mesures effectuées sur une longue période par les militaires américains sur la diminution de l'épaisseur de la banquise, et l'extension qui en résulte du domaine marin dans lequel les sous-marins peuvent briser la glace et faire surface.
Rien de nouveau sous le soleil ( de minuit ) par rapport à ce que vous avez pu lire dans ce blogue .
Les changements climatiques risquent d'avoir un impact non négligeable sur les questions de sécurité dans la région. La diminution de la banquise va libérer de vastes zones maritimes au profit du transport, de l'exploitation de ressources naturelles et d'objectifs militaires qui pourraient changer l'architecture sécuritaire de la région. Elle va aussi donner accès à de nouvelles portions de plateau continental pour exploiter le gaz et le pétrole. Dans des territoires au statut juridique mal défini, il pourrait y avoir des litiges en matière de sécurité. De plus, la fonte des glaces peut permettre l'ouverture de nouvelles routes commerciales comme le Passage du Nord-Ouest et le Passage du Nord-Est (qui réduit la distance entre Londres et Tokyo de 7 600 km). Ainsi se présentent de nouvelles opportunités, mais aussi de nouveaux défis. Mais l'intensification de la navigation, notamment du trafic des pétroliers, engendre un risque plus élevé pour l'environnement. En cas d'accidents, des catastrophes écologiques majeures peuvent gravement frapper des Etats riverains. Enfin, les zones maritimes non gelées peuvent donner lieu à de nouvelles utilisations militaires. Dans son documentaire intitulé « Une vérité qui dérange », l'ancien Vice-Président des Etats-Unis Al Gore mentionne les mesures effectuées sur une longue période par les militaires américains sur la diminution de l'épaisseur de la banquise, et l'extension qui en résulte du domaine marin dans lequel les sous-marins peuvent briser la glace et faire surface.