Chiens de guerre : La nouvelle tenue de combat canine de l'armée Russe .

Publié le 20 Août 2013

Les chiens des unités cynophiles de l'armée Russe auront bientôt un équipement de pointe : Des gilets pare-balles et pare-éclats ainsi qu'une caméra haute-définition . C'est pas la tenue  " Félin " mais la tenue  ...." Canin " ! En direct du blog d'Igor Korotchenko . [ lien ]

 

Si les chiens sont - tristement - connus pour avoir combattu des blindés lors de la Grande Guerre Patriotique [.Противотанковые собаки ]  , ils ont été intégrés à des unités de combat , avec des résultats mitigés , dés le printemps 1915 . [ lien ]    

Le Service russe des gardes-frontières a 90 ans

Rédigé par DanielB

Publié dans #Defense

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C
<br /> Bonjour (j'ai été transmetteur pour ma part).<br /> <br /> <br /> Mais peut être que la réponse est "bête" et psychologique. Si on équipe un zozo de gilet pare balles, il va tout de suite jouer au superman. Il fera peut plus attention avec un gilet pare éclats.<br />
C
<br /> Pare balles.... je croyais que cela n'existait pas et que par éclats était le terme consacré.<br />
D
<br /> <br /> Bonjour ,<br /> <br /> <br /> Je ne suis pas spécialiste de la question et je suis donc allé vérifier ce que je soupçonnais intuitivement du fait de ma fomation en génie mécanique aprés avoir lu votre question : La balle<br /> ne transmet pas son énergie de la même manière qu'un éclat .<br /> <br /> <br />  Cit : Un traumatisme balistique correspond à un transfert d'énergie entre un projectile en mouvement et l'organisme. Ce transfert est fonction de l'énergie initiale du projectile,<br /> proportionnelle à la moitié de sa masse et au carré de sa vitesse (E = 1/2 mV2). Les projectiles à haute vitesse,<br /> c'est-à-dire supersonique, ont donc théoriquement le pouvoir vulnérant le plus important. La vitesse du projectile décroît avec la distance du fait de la résistance de l'air à sa progression.<br /> Cette donnée joue un rôle lors d'une explosion car les fragments projetés sont irréguliers et leur vitesse initiale décroît rapidement. Dans les traumatismes par arme à feu, cet élément est moins<br /> important du fait de l'aérodynamisme des balles et des faibles distances de tir le plus souvent constatées. Indépendamment de la vitesse du projectile, le transfert d'énergie va dépendre de la<br /> nature du projectile (balle, éclats, plombs), de sa composition (capacité à s'écraser, à se fragmenter), de sa stabilité (effet de bascule, de rotation). Tous ces éléments en augmentant la<br /> surface de transfert d'énergie du projectile à l'organisme vont aggraver les lésions observées.<br /> <br /> <br /> http://www.sfar.org/acta/dossier/archives/ca97/html/ca97_047/97_47.htm<br /> <br /> <br /> Je pense que le tissus de la protection  doit être " anti-déchirures " pour les éclats des obus en fonte aux bords coupants ? En ce qui concerne une balle je pense à une structure qui doit<br /> se comporter comme le cordage d'une raquette de tennis ( ?????? ) C'est une reflexion que je fait à la jetée et les avis des spécialistes seront les bienvenus Très Cordialement Daniel BESSON<br /> <br /> <br /> <br />