Publié le 29 Septembre 2008
Ou diable a t'il pu pêcher le terme " geopolitique " pas particulièrement connu à l'époque ?

" Enfant geopolitique regardant la naissance de l'homme nouveau "
Blog initialement consacré à la géopolitique de l'Arctique . Il traite désormais de l'actualité politique , economique , socio-culturelle , historique et militaire et présente des analyses " non conformistes " .Il ne pretend pas à l' " objectivité " mais presente un point de vue alternatif , en opposition avec les pretendues " analyses " syndiquées des " mediats libres " des " democrassies occidentales "
Publié le 29 Septembre 2008
Publié le 29 Septembre 2008
Publié le 29 Septembre 2008
VLADIVOSTOK, 28 septembre - RIA Novosti. Un cortège de carnaval célèbrera ce dimanche la journée du tigre dans les rues de Vladivostok, a déclaré une représentante du comité d'organisation.
La journée du tigre a pour objectif d'attirer l'attention sur la question de la conservation du tigre de l'Amour, inscrit sur la Liste rouge des espèces menacées.
"La fête se poursuivra sur la place centrale de la ville, où des concours de costumes et maquillage "faunesques" seront organisés, des concours de dessins sur l'asphalte, des jeux, des quizzes, sur le tigre de l'Amour", a indiqué l'interlocutrice de l'agence.
Les caméras d'importantes émissions télévisées ainsi que des représentants de grandes associations écologiques internationales et de la Banque mondiale sont attendus à Vladivostok. La Banque mondiale soutient un projet pour la sauvegarde des tigres dont le but est d'unir, d'accorder et de financer les moyens des structures gouvernementales et de la société civile de 13 pays, recensant les 4.000 tigres encore vivants sur la planète.
C'est la dixième fois que la Journée du tigre est célébrée à Vladivostok.
Publié le 28 Septembre 2008
La gare est fantomatique, la station-service en berne. L'immense sanatorium des années 1920, qui pouvait accueillir 400 patients et domine le village, a retrouvé vie. Depuis le milieu de l'été, et jusqu'à début octobre, il est devenu le camp de base de 350 Chinois arrivés du district de Changxing, à 200 kilomètres au sud de Shanghaï. Cent cinquante autres Chinois sont dans une autre région, plus au nord-est. La saison a démarré avec la mûre polaire, s'est poursuivie avec la myrtille, la plus cotée pour ses vertus médicinales, et se termine maintenant avec l'airelle.
Dès six heures du matin, le village grouille d'activité. Les Chinois terminent hâtivement leur petit déjeuner, une énorme assiette de riz avec un peu de poulet, du thé ou de l'eau chaude. La plupart sont vêtus d'une veste orange marquée "China", et coiffés d'une casquette de la même couleur portant le sigle de la Fédération suédoise des chasseurs. Histoire d'être bien visible en ce début d'automne quand commence la chasse à l'élan.
"J'ai vu une affiche dans mon village en mars, raconte Jang Wei Liang, un fermier de 45 ans, coupeur de bambous. Je me suis décidé tout de suite. J'allais pouvoir découvrir un autre pays et surtout gagner de l'argent." Lui comme tous les autres ont la même idée en tête : faire le plus d'argent pour payer les études de leur enfant. Combien ? Il l'ignore. "Je pense que ce sera beaucoup d'argent", dit-il. "Tout dépendra de ce qu'ils ramassent", tempère Peter Fust, le patron suédois de Rabema Service, la compagnie qu'il a reprise cette année après que son ancien patron a été condamné à une peine de trois ans de prison pour fraude fiscale.
Ainsi va ce secteur qui, par bien des aspects, demeure très sulfureux. Si c'est la première fois que des Chinois sont aperçus dans les forêts de Laponie - Peter Fust a travaillé avec la Chine dans le passé pour d'autres projets -, l'appel à des ramasseurs étrangers remonte à une vingtaine d'années : des Polonais, des Baltes, des Ukrainiens, puis des Thaïlandais, les plus nombreux aujourd'hui.
Cette fois-ci, Rabema Service s'appuie sur une société intérimaire chinoise, Huzhou Jindingzi Overseas Employment Service Co Ldt, enregistrée auprès du ministère chinois du travail et de la sécurité sociale, qui emploie elle-même les ramasseurs. Ce sont ces derniers qui devront payer leurs cotisations sociales et leurs impôts en Chine.
La bande des Ukrainiens et la troupe des Chinois s'éparpillent en petits commandos aux quatre coins de la Laponie, sur les routes bordées d'arbres jaunissants, vers des destinations mystérieuses connues d'eux seuls et marquées de croix noires sur des cartes jalousement gardées. Parfois, ils doivent rouler jusqu'à 200 kilomètres pour trouver la clairière miraculeuse. Au bout de la route, ces perles rouges, des airelles, qui feront leur richesse, espèrent-ils, une fois revenus au pays.
"QUAND IL PLEUT, C'EST DUR"
Au restaurant Chu Lee Mee, à Vindeln, un village voisin d'Hällnäs, le patron chinois élevé en Inde voit parfois quelques-uns de ses congénères qui viennent prendre un verre après leur journée de cueillette dans la forêt. "Il y a tellement de place ici !, s'exclame-t-il en vantant les grands espaces inhabités de Laponie, qui couvre l'équivalent d'un tiers de la France pour quelques centaines de milliers d'habitants seulement. Ils pourraient bien faire venir dix millions de Chinois sans problème", dit-il en rigolant de son idée. Qui sait ?
Ils sont payés en fonction des quantités ramassées et du cours en vigueur. Cet été où les baies ont été moins nombreuses leur assurera sans doute un niveau de prix plus élevé. Ils devraient pouvoir s'y retrouver. Peter Fust, le patron suédois, assure ignorer combien ils toucheront en octobre, une fois rentrés au pays. "C'est l'agence d'intérim chinoise qui va les payer, après avoir déduit les différents frais." Pas loin de 1 000 euros pour le billet d'avion, et environ autant pour le logement, la nourriture et la location des véhicules, et il faut encore compter le passeport, le visa, l'essence. L'équation est très simple : les Chinois ne doivent pas chômer.
"Quand il pleut, c'est dur, dit Zhen Mei Long, une couturière. Mais le salaire est bien meilleur qu'en Chine." Les meilleurs ramasseurs - récompensés le soir d'une bière - arrivent à ramener jusqu'à 70 kg de baies par jour. C'est beaucoup. Cela leur assure un revenu brut de plus de 110 euros par jour. Mais la plupart font peut-être 70 euros par jour en moyenne. "Même si vous enlevez les frais et tout ça, ils doivent arriver à peu près à 1 300 euros par mois, estime Peter Fust. Aucun Suédois ne veut travailler aussi dur à ce salaire." Mais Deng Chao, la jeune Chinoise qui travaille comme interprète, estime qu'ils gagnent en moyenne 150 euros par mois au pays. "En Suède, ils gagnent en deux mois l'équivalent de six à douze mois de salaire en Chine."
Soixante-dix kilos par jour, c'est ce que ramassent en moyenne chaque jour les ramasseurs thaïlandais qui travaillent pour Catarina Lundberg et sa compagnie Norrskensbär. De son quartier général de Jörn, un petit village tout aussi isolé mais plus au nord, Catarina Lundberg dirige les opérations de quelque 900 cueilleurs thaïlandais sur les 3 500 venus cette année en Laponie, officiellement du moins, et dotés d'un permis de travail temporaire tamponné par une ambassade suédoise à Bangkok complètement débordée. Bon nombre viennent aussi avec des visas touristes et échappent à la vigilance du fisc suédois.
Les Thaïlandais sont devenus en quelques années l'aristocratie des ramasseurs. Ils reviennent d'année en année, connaissent les bons coins, et sont du coup bien plus efficaces.
Pendant quelques années, Catarina Lundberg a dirigé l'organisation professionnelle du commerce des baies dominée par trois grossistes qui rachètent toute le stock suédois ramassé par une poignée de compagnies comme Rabema ou Norrskensbär. "Il fallait essayer de nettoyer la mauvaise réputation de la branche", dit-elle, tout en laissant entendre qu'il reste du travail. Les conflits ont été légion avec le fisc, l'agence de l'immigration, et autres administrations tatillonnes, sans compter les syndicats.
Au cours des ans, il y a eu beaucoup d'arnaques à la TVA, de ramasseurs floués, de promesses déçues. Depuis cette année, la branche s'organise, un cahier des charges a été mis au point. Si les Chinois reviennent l'an prochain, ce sera bon signe.
Publié le 28 Septembre 2008
Publié le 28 Septembre 2008
To the regime's critics, today's expedition is a chilly reminder of the brutal era when millions of Gulag prisoners were sent to the frozen expanses to build senseless mega-projects for the power-crazy dictator."
* J'ai eu le plaisir de travailler quelques mois au sein de la filiale Marseillaise cette socièté en 1997-1998 .
Stage inoubliable au service R&D en Allemagne .
Publié le 27 Septembre 2008
Selon le chercheur Norvégien Willy Østreng cité par FiskeribladetFiskaren , la Russie et la Norvége seraient sur le point de trouver un compromis à propos de leurs disputes territoriales dans l'Arctique .
En echange d'une reconnaissance de la souveraineté Norvégienne sur la reserve de pêche du Spitzberg , la Norvége accepterait de reculer " un peu plus à l'Ouest " , en faveur de la Russie , la délimitation de la zone de 176 000 km2 que se disputent Russes et Norvégiens dans la Mer de Barents .
L'accord porterait sur les derniers 20% restants , zone ou se trouve les structures les plus prometteuses du point de vue petrogazier .
Cet accord permetterait de calmer le regain de tension entre la Norvége et la Russie consécutif aux propos acerbes des chefs politiques Norvégiens sur l'operation de retablissement de la paix des forces Russes dans le Caucase .
Publié le 26 Septembre 2008
Labevière et Thual en parlent dans leur livre , moins d'une ligne .
Il s'agit de la tempête arctique d'octobre 1983 sur la route Maritime du Nord qui necessita le deploiement de 13 brise-glaces et de plusieurs dizaines d'helicoptères et d'avions pour porter secours à 50 navires dont les petroliers Kamensk-Ouralski , Igrim et Ourengoï à pleine charge .
Ce dernier necessita à lui tout seul la puissance de trois brise-glaces ( 163 000 CV ) pour être libéré de la banquise qui atteignait par endroits une épaisseur de .......10m .
Déja à l'époque les satellites furent mis à contribution pour scruter la progression de la banquise et le repérage des navires en perdition .
Certains de ces évènements se sont déroulés au large de laTchoukotka .
Cet évenement climatique montre que la maîtrise du postionnement par satellite est une nécessité absolue pour la navigation arctique , non seulement pour la navigation dans les chenaux libres mais aussi pour le confort moral des équipages ( et des armateurs ) : Ceux ci doivent avoir la garantie que les secours arrriveront dans les plus brefs délais et les armateurs et affréteurs doivent avoir la certitude que les navires et les cargaisons ne seront pas perdus corps et biens .
Helicoptere Mil MI 2 et brise-glace " Sibir " - Brise-glace " Leonid Brejnev "
( C) Agence de Presse NOVOSTI - Septembre 1984
Publié le 25 Septembre 2008
VOLJSKI-OUTIOS (Volga, Samara), 25 septembre - RIA Novosti. Le gouvernement doit prendre des mesures pratiques en vue de rétablir sa flotte de brise-glaces, a déclaré jeudi le premier ministre russe Vladimir Poutine.
"Nous agirons sereinement dans cette direction, ne perdant pas de vue [...] la nécessité de poursuivre la mise en valeur de la Voie maritime du Nord (qui relie par mer depuis les années 1930 le nord de la Partie européenne à l'extrémité Nord-est de la Sibérie, ndlr). Conjointement avec Rosatom (groupe public gérant les industries et les sites nucléaires russes), le gouvernement doit prendre des mesures pratiques [...] pour rétablir la flotte des brise-glaces atomiques", a indiqué M. Poutine lors d'une rencontre jeudi avec les représentants régionaux du parti Russie unie.
Le premier ministre russe répondait à une question sur la mise en valeur de l'Arctique et les débats en cours avec les partenaires étrangers de la Russie sur ce problème
Pendant ce temps là , confrontés au vieillisement de leur flotte de brise-glaces , les Etazunis vont investir 30 Mio USD dans le revamping de l' "USCG Polar Star " .
Publié le 25 Septembre 2008
MOSCOU, 25 septembre - RIA Novosti. Les grands navires anti-sous-marins Admiral Levtchenko et Severomorsk, des dragueurs de mines et des sous-marins nucléaires et à diesel de la Flotte du Nord ont pris jeudi le large, dans le cadre des exercices stratégiques de commandement et d'état-major Stabilité-2008, a annoncé la flotte dans un communiqué.
Les exercices dont l'objectif consiste à raffermir la sécurité de l'Etat de l'Union Russie-Biélorussie ont commencé" le 22 septembre et se dérouleront jusqu'au 21 octobre dans différents régions des deux pays. Ils constituent le noyau de la préparation au combat des forces armées russes et biélorusses en 2008.
"Sur les polygones situés en mer de Barents, la Flotte du Nord [...] perfectionne le système de commandement et d'interaction entre ses forces de surface, sous-marines et l'aviation", lit-on dans le communiqué.
Dans le cadre de ces exercices, les avions anti-sous-marins Iliouchine-38 réaliseront plusieurs vols.
Le commandant de la Flotte du Nord, le vice-amiral Nikolaï Maximov, se trouvera, pendant plusieurs jours, à bord de navires de surface pour vérifier la disponibilité des organes de commandement de la Flotte, souligne le communiqué