Publié le 2 Octobre 2008

MOSCOU, 2 septembre - RIA Novosti. Aux termes du programme national d'armements, conçu pour la période allant jusqu'à 2015, huit sous-marins nucléaires de nouvelle génération seront livrés à la Marine de guerre russe, a annoncé l'amiral Alexandre Tatarinov, commandant en chef adjoint des forces navales russes.

"La construction en série de sous-marins a été lancée dans l'intérêt de la Marine de guerre. L'un d'entre eux, un sous-marin atomique de nouvelle génération, a été récemment mis à eau", a-t-il affirmé jeudi lors d'un entretien avec des journalistes.

Interrogé sur le nombre total de sous-marins qu'il est prévu de mettre en service conformément au programme, l'amiral a répondu: "Leur nombre dépend des besoins des forces navales. Pour le moment, nous envisageons d'en construire huit, peut-être plus".

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Publié le 2 Octobre 2008

Malgres la " crise "et des probables baisses des investissements dans le secteur petro-gazier Russe , les principaux acteurs choisis par le Kremlin pour la mise en valeur du plateau continental Russe dans l'Arctique continuent de s'équiper .
Le geant petrolier Russe ROSNEFT  vient d'annoncer ses projets d'investissements dans le domaine de la marine marchande .
Outre les plateformes , cette " Big Navy " Arctique comprendra en 2030 : 16 brise-glaces ; 82 navires d'assistance ; 45 tankers de 100 000 tonnes ; 18 navires de recherches sismiques .
La seule flotte des tankers est estimé à 135 milliards de Roubles .

Les chantiers navals Russes ne pouvant faire face à une telle commande de navires à capacités arctiques , ce seront des chantiers etrangers qui seront sollicités : Finlandais , Norvegiens , Allemands , Sud-Coréens , et même .............Espagnols .
On ne peut que constater l'absence , à tous les niveaux , de la France dans ces " technologies arctiques " : Navires à double-coques , systèmes propulsifs , .......................... malgrés des débuts prometteurs .

Absence d'autant plus étonnante que l'ambassadeur Stefanini parlait il y a peu du " soft power " et de l'expertise Française pour s'imposer dans le dossier Arctique !
Bah ! Nous avons nos " Bac +15 en Ichtyologie de l'université de Strasbourg  " pour apprendre aux Komis à respecter les quotas de pêche ou nos " conseillers pedagogiques " pour venir en aide aux élèves " à problème " dans les écoles Grolandaises ...............
Encore que dans ce domaine un peu de " hard power " devrait être employé à l'occasion .











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Publié le 2 Octobre 2008

Les commentateurs et " experts " ont écrit  tout et n'importe quoi sur la baisse récente du marché boursier Russe : Influence des oligarques " occidentalisés " craignant de possibles retorsions suite à la guerre du Caucase , " punition " des fonds de pension Etazuniens qui en réalité ont rapatrié leurs capitaux pour faire face à des échéances à Wall Street ,...........

Tous ont ommis deux élèments dans leurs analyses et previsions :
- Le retrait des fonds spéculatifs liés au capitalisme predateur , les " criquets predateurs " ( Heuschrecke = sauterelle ) que dénonçaient " Der Spiegel" et " Stern " il y a un un peu plus de deux ans en Allemagne avec une caricature ad-hoc !
- Le maintien des investissements strategiques , sur une periode de 20 ou 30 ans , des acteurs energetiques Européens . Cette volonté de vouloir rester sur le marché Russe se traduisant principalement par des échangesd'actifs .



SAINT-PETERSBOURG, 2 octobre - RIA Novosti. Dans le cadre de la mise en valeur du gisement de Ioujno-Rousskoïe (région de Tioumen), un échange d'actifs est intervenu entre le monopole russe Gazprom et le groupe gazier allemand E.ON.

Le document a été signé en présence du président russe Dmitri Medvedev et la chancelière allemande Angela Merkel.

Il prévoit le transfert à E.ON de 25% moins une action de la société russe Severneftegazprom, ce qui autorise sa participation à la mise en valeu r du gisement de Ioujno-Rousskoïe.

Gazprom acquiert pour sa part 49% du capital de la société Gerosgaz et abaisse la participation d'E.ON Ruhrgas en son sein de 6,43% à 3,5%.

L'échange d'actifs devrait avoir lieu le 1er janvier 2009 et le marché devrait être finalisé au 2e semestre de 2009

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Rédigé par P@lp@tine

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Publié le 2 Octobre 2008

SAINT-PETERSBOURG, 2 octobre - RIA Novosti. Moscou espère que les pays étrangers au projet de gazoduc Nord Stream n'entraveront pas sa mise en oeuvre et que le pipeline sera construit dans les délais fixés, a déclaré jeudi le président russe Dmitri Medvedev lors des consultations russo-allemandes.

Le gazoduc Nord Stream passera au fond de la mer Baltique pour relier la ville russe de Vyborg à la ville allemande de Greifswald. La première canalisation, d'une longueur d'environ 1.200 km et d'une capacité annuelle de 27,5 milliards de m3 de gaz, doit entrer en service en 2010.

"Nord Stream fait l'objet de notre attention commune et de notre soutien politique permanent. Nous estimons que ce projet procurera un avantage évident à tous les participants et espérons que les travaux progresseront conformément au calendrier établi", a affirmé le président russe.

"Nous espérons également que les pays étrangers au projet ne chercheront pas à influer sur sa mise en oeuvre", a ajouté M. Medvedev.

Un lecteur  , Alexandre Latsa , m' signalé par courrier privé ces informations complémentaires sur la reaction de la diplomatie Allemande aux ingérences Etazuniennes .

Dans son édition n°39/2008, l'hebdomadaire de Hambourg, "Der Spiegel", dénonce les pressions indirectes qu'exerce Washington pour saboter l'installation définitive du gazoduc germano-russe de la Baltique. Après l'échec de la tentative téméraire du président géorgien Saakachvili dans le Caucase, dont l'enjeu est la ligne de gazoducs et d'oléoducs Bakou-Tiflis-Ceyhan, les Etats-Unis passent à l'offensive en Mer Baltique, pour torpiller le bon fonctionnement de "North Stream", sur lequel  ils n'exercent aucun contrôle. Ils procèdent de manière indirecte. Soi-disant non officielle. Michael Wood, ambassadeur américain en poste à Stockholm, nommé à ce titre par George Bush junior parce qu'il jouait jadis au golf avec lui et l'accompagnait dans ses randonnées en mountain-bike, vient de publier sous son nom propre un article qui enfreint toutes les règles de la bienséance diplomatique, selon la bonne vieille méthode des néocons, qui revendiquent haut et clair ce style de dérapages. Cet article est paru dans le quotidien suédois "Svenska Dagbladet" et constitue un appel au gouvernement suédois: celui-ci devra vérifier, avec la plus extrême rigueur, si le gazoduc est bien "écologique", comme prévu, mais ne devra pas se borner à ce seul aspect écologique. Il devra, selon Wood, prendre d'autres facteurs en considération: notamment que ce gazoduc est le fruit d'accords spéciaux entre Allemands et Russes, qu'il est une mise en oeuvre par Moscou de "l'arme de l'énergie" face à laquelle l'Europe doit faire front commun, en refusant bien entendu toutes les séductions qu'elle offre.

 

Pour une fois, le gouvernement fédéral allemand a réagi clairement: Rüdiger von Fritsch, directeur du département économique du ministère allemand des affaires étrangères, a appelé l'ambassadeur américain en ses bureaux pour lui demander des explications. Le gouvernement fédéral allemand se dit "irrité" devant cette démarche "inhabituelle". La réponse du diplomate américain à Berlin reflète, elle, une hypocrisie bien habituelle: les Etats-Unis sont "surpris", paraît-il, des propos de Wood et prétendent que Washington n'a aucune objection à formuler "quant à l'installation de ce gazoduc privé". Rüdiger von Fritsch, qui n'est évidemment pas dupe, a conservé sa fermeté: un incident comme l'article de Wood ne devra pas se répéter, a-t-il demandé.

 

Le diplomate von Fritsch n'a pas été le seul à marquer son mécontentement en Allemagne. Eggert Voscherau, représentant de BASF dans le Conseil de supervision du gazoduc "North Stream" incriminé, a déclaré: "Les Américains manifestent désormais ouvertement leur opposition au gazoduc". Martin Schulz, chef de la fraction sociale-démocrate au Parlement Européen a, lui, déclaré pour sa part que l'article de Wood est une preuve utile et intéressante "pour montrer quelles sont les intentions réelles des Américains: déstabiliser l'Europe". Notre commentaire: les sociaux-démocrates, jadis, surtout en Belgique, champions de l'alliance atlantiste, vont-ils enfin comprendre, après plus d'un demi siècle, voire un siècle entier, que cette intention américaine a toujours été telle: affaiblir, déstabiliser et détruire l'Europe?

 

Le ministre allemand des affaires étrangères Frank-Walter Steinmeier ne minimise pas davantage l'affaire: il part du principe que la teneur menaçante de l'article de Wood révèle bel et bien les intentions réelles de Washington. Les observateurs attentifs ont déjà pu constater que la diplomatie américaine ne cesse plus d'intriguer contre ce gazoduc long de 1200 km entre Wyborg et Greifswald, qui, pensent les Américains, accentuera la dépendance énergétique de l'Europe au profit de la Russie. Argument classique, banal mais fallacieux: en effet, ce n'est pas cette dépendance que craignent finalement les Américains mais, au contraire, la fusion des potentialités européennes et russes, qui détacherait les uns et les autres de toute dépendance à l'endroit des Etats-Unis et des sociétés pétrolières moyen-orientales qu'ils contrôlent.

 

Cette crainte n'est pas seulement exprimée par Condoleezza  Rice mais, plus nettement encore, par le Sénateur de l'Utah, Bob Bennett, qui s'inquiète de voir la Russie se transformer "en un Etat gazier et pétrolier". Ensuite, le tandem énergétique germano-russe, prétendent les Américains, permet à Poutine et Medvedev  d'agir énergiquement dans le Caucase et d'y mettre les manigances américaines, voire turques, en échec et mat. Raison pour laquelle, la diplomatie américaine tente une politique de la zizanie en Europe du Nord en excitant Polonais, Baltes et Suédois contre l'alliance énergétique forgée par Berlin et Moscou. Réactivation du clivage polémique entre "Vieux Européens" et "Nouveaux Européens", à la différence près que, cette fois, Français, Néerlandais et Britanniques sont ou seront aussi les bénéficiaires du gazoduc contre lequel Washington excite les esprits.

 

La démarche de déstabilisation de l'Europe est si évidente, cette fois, que même les chrétiens-démocrates allemands, souvent très critiques à l'endroit de la politique russe, protestent. Eckart von Klaeden, porte-paroles de la CDU en matière de politique étrangère: "Il faut bien que les énormes investissements [que nous avons faits en Russie] soient amortis".  Déclaration qui montre bien que la dépendance ne va pas en sens unique, que ce n'est pas seulement l'Europe qui dépend de l'énergie russe mais que, simultanément, la Russie dépend du savoir-faire européen, pour combler le "technological gap" que constataient, triomphants,  les auteurs anglo-saxons entre 1917 et 1989, dont Arnold J. Toynbee. La Chancelière Merkel, qui semblait pourtant avoir cédé aux ukases américains après la Guerre du Caucase en août dernier et déplorait une trop grande dépendance européenne face au gaz et au pétrole russes, soutient le projet "North Stream" sans la moindre réticence.

 

Steinmeier et Merkel se sont rendus en Suède pour plaider la cause du gazoduc, qu'ils définissent comme un "projet stratégique européen". Les Suédois ont le droit de vérifier la fiabilité écologique de ce gazoduc, mais rien de plus, disent les Allemands. La vérification sera sans doute la plus méticuleuse qu'un gazoduc aura jamais subie. Nous ajouterions que les Américains jouent là sur une vieille inimitié russo-suédoise, qui remonte à Charles XII de Suède, au temps où la Suéde désirait maîtriser "l'axe gothique", de la Baltique à la Mer Noire, entre Memel et Odessa. La défaite de Charles XII l'a évincée, comme fut aussi évincé le tandem polono-lithuanien. L'axe gothique ne peut plus être maitrisé que par un tandem germano-russe, dans le cadre d'un concert européen cohérent qui rappelle et la Sainte-Alliance de 1815 et l'Alliance des Trois Empereurs au temps de Bismarck.

 

(résumé de l'article et commentaires de Robert Steuckers; titre de l'article: "Aussenpolitik. Amerikanischer Ausrutscher", par Ralf Beste & Cordula Meyer, in: "Der Spiegel",  n°39/2008 )


Les " pressions " sur la Suede ne sont pas prêtes de cesser puisque la Georgie essaye desormais d'utiliser ce pays comme " levier " contre la Russie .



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Rédigé par P@lp@tine

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Publié le 2 Octobre 2008

Le brise- glaces a propulsion nucleaire " Arktika " vient d'être officiellement retiré du service cette semaine .
 Construit aux chantiers navals de Saint-Petersbourg , alors Leningrad , l' " Arktika " a été mis en chantier le 3 juillet 1971 et lancé le 26  décembre 1972 . Il est entré en opération début 1975 .
Son futur équipage , 150 personnes , a participé aux travaux ce qui lui a permis de maîtriser plus rapidement les nouvelles technologies mises en oeuvre .
Il mesure 148 mètres de long pour une masse de 23 000 tonnes .
Le brise glace " Arktika " a participé aux operations de sauvetage lors de la tempête arctique d'octobre 1983 sous le nom de " Leonid Brejnev " . ( * )
Le premier ministre Vladimir Poutine a récemment annoncé un nouveau programme de brise-galces à propulsion nucleaire .



Le brise-galce "' Yamal " ; sister-ship de l' "Arktika "

(* ) Ce qui constituait une derogation à la régle communément respectée par toutes les marines , marchandes et militaires , du monde de ne pas baptiser un navire avec le nom d'une personne vivante ,  exerçant une activité politique ou un militaire d'active .
Les Etazunis ont durant la sgm , malenconteusement , baptisé un de leurs " Liberty ships " du nom d'un marin supposé disparu en mer mais qui avait survécu au naufrage de son navire .
Imaginez un peu une frégate " Hervé Morin " ou un porte-conteneurs " Christine Lagarde " !





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Rédigé par P@lp@tine

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Publié le 2 Octobre 2008

Rédigé par P@lp@tine

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Publié le 1 Octobre 2008

Celui dont le brouteur de tapis avait mis la tête à prix vient de decéder à l'aube de ses 109  printemps , trois jours apres son anniversaire et au lendemain des 70 ans du " complot  de Munich ".
Boris Efimovich Efimov (  Борис Ефимович Ефимов) a été le caricaturiste Sovietique le plus célèbre de la seconde guerre mondiale et de la " guerre froide " .
Toujours tres actif , 
il a été nommé redacteur artistique du journal Izvestia .le 28 septembre 2007.

                  " La leçon d'histoire " - 1941

En 1947 , Joseph Staline convoque Yefimov afin qu'il represente une caricature d'Eisenhower  à la tête d'une armée partie à la conquête du Pôle Nord .
L'episode est raconté dans ce lien par Yefimov .  Yefimov se met au tarvail et dessine Einsenhower dans une jeep à la tête d'une armada de blindés passant devant les igloos d'inuits heberlués et d'ours inquiets .Staline rajoute alors , avec un crayon rouge , les mots " Pole Nord " , " Alaska " , " Canada " * afin que tout le monde comprenne que cela se passe dans l'Arctique * puis il corrige le titre de la caricature et les bulles .
Il s'agissait de dénoncer la militarisation croissante de l'Arctique par les Etazunis ., présentée par ces derniers comme " défensive " .

Boris Yefimov avait la " dent dure " ,ou plutôt la plume vipérine et acerbe ,  y compris sur les problemes géostrategiques  comme la "question des detroits"  ,
toujours d'actualité , et la " convention de Lausanne " ou les Britanniques voulaient cantonner la flotte Russo-Sovietique  dans la Mer Noire .
   (c) Izvestia - 2008

Ceux qui disposent d'un minimum  de " kultur " classique sauront retrouver à quel monument " kolossal " célèbre cette  caricature fait référence !

Vous trouverez sous ce lien , une interviouve de Boris Efimov et son point de vue sur la caricature politique .

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Rédigé par DanielB

Publié dans #Kulturkampf

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Publié le 1 Octobre 2008

Grand ordonateur et organisateur du " Raout Arctique " qui s'est tenu dans un de ses pied à terre de l'archipel François Joseph , le chef du Conseil de Securité de la Federation de Russe , et ex directeur du FSB ,  Nicolas Patrouchev s'exprime dans les colonnes du journal Isvestya .
Comme le souligne l'introduction de l'interviouve , le " Dossier Arctique " est desormais une des priorités de la diplomatie Russe au même titre que le Caucase ( Georgie ) , les Balkans ( Kossovo ) ............
C'est la première fois que le chef du CSFR s'exprime dans la presse et développe ces dossiers .

Pour Nicolas Patrouchev la priorité est de " defendre les intêrets nationaux de la Russie sur le plateau continental " , de " créer les conditions économiques du développement des * Peuples du Nord " "
" Le President a réaffirmé les objectifs nationaux et internationaux de la Russie jusqu'en 2020 .L'Arctique doit être utilisée pour le développement économqiue de notre pays " .
" Notre objectif principal est de transformer l'Arctique comme base des ressources Russes pour le XXI eme siècle et de contribuer à la securité enegetique [ globale ] "

 
Nicolas Patrouchev s'est également plaint de l'attitude des " partenaires occidentaux " de la Russie face aux projets " souppesés "de la Russie  , de son approche multilaterale du dossier et de leur accusations fallacieuses d'appropriation territoriale .
Il a ainsi souligné la manière propagandiste et erronée  dont les mediats Canadiens ont couvert la declaration du President Medvedev concernant la delimitation de l' "Arctique légale " .


Apres avoir rappellé le rôle de l'Arctique Russe dans la production Russe de metaux non-ferreux et du plateau continental dans celui de reserve d'hydrocarbures , il a souligné le rôle des plus de 60 scientifiques Russes , " l'Elite scientifique de la Russie " , qui travaillent au sein du Conseil de Securité [ de la Federation de Russie ] afin de défendre la souveraineté Russe sur cette région .

Nicolas Patrouchev a indiqué que ce développement de l'Arctique devait prendre en compte l'écologie et les intêrets des " Petits Peuples " du Nord [ Ce qui en soi revient au même  ! ] .
Certains feraient bien de s'en inspirer !


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Rédigé par DanielB

Publié dans #Les Russes dans l'Arctique

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Publié le 1 Octobre 2008

Dans le cadre de la " maritimisation " de ses échanges economiques l'UE envisage de développer un " Corridor Maritime Septentrionale " ( Northern Maritime Corridor NMC ) vers les ports Russes d'Arkhangelsk et Mourmansk le long des côtes Norvegiennes .Les autorités Russes développent de leur côté les infrastructures des ports de Mourmansk  et Arkhangelsk ,  signent des protocoles d'accord avec les principales sociétés Russes operant dans l'Arctique ( Norisk Nickel , Lukoil ) et construisent les infrastructures permettant de relier ces ports au " Hinterland " ,voir au " Hearthland " Russe .

Ce projet rejoint leur principale priorité du moment  , le développement du champ gazier de Chtokman , qui necessite un trafic important de biens d'équipements pour sa mise en valeur .

Il reste a savoir ce qu'en pensent les duchés du Petit , Grand et Moyen Fenwick  et la Finlande qui considérent comme " menaçant leurs intêrets vitaux " tout detournement du trafic vers la Russie en dehors de leurs ports et quel sera le poids de leur Lobby à Brouchelles ?

Cette voie maritime vers les ports de Mourmansk et d'Arkhangelsk est la première étape , le " passage du sas " , d'une utilisation de la Route Maritime du Nord dans son intégralité .vers l'Asie . 

 

  Quelques liens vers les " decideurs " sur le site officiel du  NMC .

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Rédigé par P@lp@tine

Publié dans #Marine marchande

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Publié le 1 Octobre 2008

MOSCOU, 30 septembre - RIA Novosti. L'aptitude des sous-mariniers russes à agir sous les glaces de l'Arctique améliore le potentiel de la flotte et sa viabilité en période de menaces, a annoncé à RIA Novosti mardi l'ex-chef d'Etat-major des forces navales russes, Viktor Kravtchenko.

Le sous-marin atomique stratégique de la Flotte du Nord, le Riazan, qui a achevé mardi avec succès une traversée sous les glaces arctiques, a rejoint la Flotte russe du Pacifique.

"Cette traversée a confirmé la capacité des sous-mariniers russes d'agir dans des circonstances extrêmes sans refaire surface, chose particulièrement importante en période de menaces. En fin de compte, c'est le témoignage de la possibilité de porter un coup de rétorsion contre tout agresseur", a indiqué le militaire.

En période de menaces, a-t-il poursuivi, pour améliorer leur capacité de survie, des sous-marins pourraient recevoir l'ordre de se redéployer dans la région arctique où ils ne seront plus détectables ni par l'aviation, ni par les satellites ennemis. "Mais si nécessaire, ils peuvent refaire surface et, par un trou dans la glace, effectuer une frappe au missile", a déclaré l'amiral.

Selon lui, trouver un trou dans des glaces de 4,5 mètres d'épaisseur est une chose ardue. "Grâce à de telles traversées, les équipages s'entraînent justement à le faire", a noté le militaire.

La dernière fois une telle traversée a été effectuée par le sous-marin atomique Tomsk en 1998, a rappelé Viktor Kravtchenko



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Rédigé par P@lp@tine

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