2010 : l'annee de la russie en france

Publié le 27 Novembre 2010

"Au service des Tsars : La Garde impériale russe et les cosaques" (les cavaliers d'escorte portent un uniforme inspiré des traditions des peuples du Caucase)

 

Cette exposition est le fruit d'une collaboration entre le Musée de l'Armée, le Musée des Cosaques de Courbevoie et le Musée de l'Ermitage de Saint-Pétersbourg

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Rédigé par DanielB

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Publié le 5 Mars 2010

Si certains voient des nains partout , on peut aussi attraper la " Géopolitite " !
C'est une déformation d'esprit qui consiste à trouver un élèment de géopolitique dans n'importe quelle situation , dans une farce-opérette comme " On allaient tous sur la troïka avec des grelots " que je suis allé voir lors de la soirée cabaret de samedi dernier  ou dans la pièce de théatre qui va être jouée dans le cadre du XV éme festival Russe du théatre Toursky : " Le Malheur d'avoir trop d'esprit " d'Alexandre Griboïedov qui sera jouée vendredi , samedi et dimanche 12 , 13 et 14 mars  .
Pourquoi de la géopolitique dans une comédie de boulevards ?
Tout simplement par ce que son auteur fut un des acteurs de la rivalité Anglo-Russe en Asie Centrale connue sous le nom de " Grand-Jeu " et on ne peut s'empêcher de penser à lui et l'à l'actualité de son  personnage lorsque l'on ouvre la page " étranger " de nos journaux . Jugez en vous-même :

Alexandre Sergueïevitch Griboïedov (en russe : Александр Сергеевич Грибоедов), né à Moscou le 15 janvier 1795 et mort à Téhéran  le 11 février 1829 , est un auteur dramatique, compositeur et diplomate russe .

Fils d'une famille de petite noblesse, Griboïedov étudie à l'Université de Moscou  de 1810 à 1812. Il obtient ensuite un brevet dans un régiment de hussards, mais se retire en 1816.

L'année suivante, il entre dans le service civil. Il est affecté en tant que secrétaire de la légation russe en Perse  . Conformément au traité de Goulistan, il réussit à faire sortir de Perse une centaine de soldats russes, anciens captifs. Il joue un rôle important pendant la guerre turco-perse de 1821-1823 et est décoré par le Chah de l'Ordre du Lion et du Soleil. En 1822, il est transféré en Géorgie , où il devient secrétaire diplomatique d'Alexeï Ermolov , le gouverneur général du Caucase . C'est pendant cette mission qu'il écrit ses chefs d'œuvre. En 1826, après le coup d'État avorté des Décembristes , Griboïedov, malgré sa sympathie pour certains des membres du mouvement, est lavé de tout soupçon, après avoir été mis aux arrêts à Grozny et avoir subi un interrogatoire à Saint-Pétersbourg .

De retour en Géorgie au mois de septembre 1826, déçu, il se rend utile par ses connaissances de la langue perse auprès de son parent le comte Ivan Paskevitch , qui a remplacé Ermolov au poste de gouverneur général. Il devient une sorte d'éminence grise du commandement militaire russe au Caucase, pendant la guerre russo-perse de 1826-1828. Il dirige les pourparlers avec les chefs de clans perses en protégeant leur droit coutumier.

Il est envoyé à Saint-Pétersbourg  après le Traité de Turkmantchaï  de 1828 qu'il avait préparé et qui permit à la Russie  d'obtenir une position avantageuse en Perse . Reçu donc brillamment dans la capitale impériale, il pense pouvoir se consacrer à la littérature  et entame la rédaction d'un drame romantique , Une nuit géorgienne (Грузинская ночь), mais il est soudain envoyé en Perse en tant que ministre plénipotentiaire . En route, il est retardé par la maladie et par son mariage ; il conçoit alors le projet de créer une Compagnie russo-transcaucasienne, organisée comme celle des Indes orientales ; mais peu après son arrivée à Téhéran , une foule de fanatiques assaille l'ambassade russe. Griboïedov, ainsi que la quasi-totalité du personnel, est assassiné, le 30 janvier 1829, et son corps est si maltraité pendant trois jours par la foule qu'il ne peut être reconnu que grâce à une cicatrice sur une de ses mains, souvenir d'un duel. Selon toute probabilité ce meurtre fut commis à l'instigation du docteur McNeill , diplomate de la Couronne britannique en Perse, qui redoutait l'influence russe, dans le contexte de ce que l'on appellera plus tard le Grand Jeu entre les Anglais et les Russes et qui excita la foule contre la Russie.

Alexandre Pouchkine , rejoignant l'armée russe en guerre avec la Turquie, croisera lors de sa traversée du Caucase  le cercueil de Griboïedov, son ami proche, sur une arba attelée à deux boeufs. Il relatera cette rencontre dans son Voyage à Arzroum.
( D'aprés Wikipedia )


Grozny , Géorgie , Caucase , Perse , Iermolov , commandement militaire Russe du Caucase , Traité de Turkmantchaï , meurtre organisé par les Sr Britanniques ................

J'espère que ma soirée ne va pas être gachée !

Mais quel rapport entre la soirée cabaret de samedi soir dernier et la géopolitique ?
Résumé du spectacle :
Dans la petite ville russe de Toula , rendue célèbre par les artisans nationaux , habite un garçon simple surnommé " Le Gaucher " , il aime la jeune fille Mashka .
Pendant ce temps là , la reine d'Angleterre envoie au Tsar  Russe une petite puce d'acier mécanique . Le Tsar Russe décide de prouver à la reine étrangère qu'en Russie il y a des
artisanscapables de créer quelque chose de manière plus ingénieuse .
Une vieille dame d'honneur du Tsar nommée Muryshkina se rappelle alors que le maître-artisan Le Gaucher peut réaliser ce miracle .
Le Tsar envoie à Tula le général Platov . Cedernier va trouver Le Gaucher  et lui confie la tâche de faire de la puce quelque chosed'extraordinaire afin de surpasser les maîtres Anglais . Le Gaucher  acomplit ce miracle en ferrant la puce .

Ainsi le Gaucher se rend à Londres pour montrer son ouvrage unique à la reine . Pendant son voyage il rencontre des Tziganes . A Londres ,la reine donne un bal en son honneur .C'est à cette occasion que l'artisan offre à la reine lapuce qu'il a ferré . La reine décide de le convaincre de rester en Angleterre .Mais comme le Gaucher aime Mashka il rentre en Russie .
A son retour , il transmet au Tsar de russie les sentiments respectueux de la reine Anglaise .
Le Tsar offre au Gaucher une médaille d'honneur et donne sa bénediction pour sonmariage avec Mashka .
Etant revenu à Toula , Le Gaucher fait sa demande en mariage àMashka .
Tous les habitants de Toula félicitent le jeune couple .

Que vient donc faire la GP dedans ?
Eh Bien , lorsque le Tsar cherche un cadeau pour la Reine Anglaise , on y a apprend qu' " une  puce mécanique ne vaut quand même pas les Dardanelles ! "
De la même manière , à Londres , notre artisan est soumis à " un choc des civilsations ", et il préférera sa Mashka habillée de costumes traditionnels Russes et ses mélopées douces à la " Reine Anglaise"  qui pour le séduire n'hésite pas à faire un strip-tease pour faire apparaître un body aux couleurs de l'Union-Jack  , ceci  au son d'un " I'm your Venus " torride !


Bibliographie conseillée :

Diplomacy and murder in Teheran - Alexander Griboyedov and imperial Russia's mission to the Shah of Persia - Laurence Kelly - I.B.Tauris - 2002
ISBN: 1860646662

Nota : Laurence kelly rejette la thèse d'un complot organisé par les Sr Britannqiues

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Rédigé par DanielB

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Publié le 27 Février 2010

Source : Ria Novosti

-Pourriez-vous parler du contenu de cette exposition? Qu’est-ce que le public français va-t-il apprendre sur la Russie grâce à cette exposition?

- En ce qui concerne le nombre de participants (musées, archives, bibliothèques) l’ampleur de l’exposition est extraordinaire dans le cadre de l’Année France-Russie. Pour la première fois le public français pourra voir les aspects inconnus de l’histoire russe, en particulier l’influence byzantine sur l’art de l’ancienne Russie, le développement de cet art conservant à la fois les origines et les traditions de Byzance et apportant une originalité russe par des traits nationaux, sauvegardés strictement pendant dix siècles jusqu’au 18ème siècle, période de Pierre 1er et de l’ouverture de la Russie à l’Europe Occidentale. Au début du 18ème siècle les relations diplomatiques sont établies entre la Russie et la France grâce aux deux Grandes ambassades (mission diplomatique et éducative) de Pierre 1er en Europe. Au 18ème siècle le processus de compréhension mutuelle et d’influence réciproque des cultures entre la Russie et la France était à leur apogée. La France était toujours intéressée par la Russie, par son âme mystérieuse.

-A votre avis, pourquoi cette exposition est considérée comme l’événement le plus important de l’Année France-Russie?

La France et la Russie ont réalisé ensemble beaucoup de projets d’expositions et présenté les collections de leurs meilleurs musées. Pourtant la période à partir de la conversion au christianisme en Russie au 10ème siècle et jusqu’aux reformes de Pierre 1er restait mal connue. L’exposition « Sainte Russie » qui aura lieu au Louvre, a rassemblé pour la première fois des œuvres des 25 plus grands musées nationaux de Russie : l’Ermitage, le Musée Russe, la galerie Tretiakov, le musée du Kremlin de Moscou, le Musée Historique, les archives des anciens actes ainsi que des musées régionaux dont certaines œuvres seront exposées à l’étranger pour la première fois. Comme le Musée de Serguiev Possad, le Musée de la Nouvelle Jérusalem, le Musée du Kremlin de Rostov, les musées de Pskov et de Iaroslavl.

Au début du 20ème siècle, en 1911, pour la première fois la collection d’art russe de la princesse Dénichera a été exposée sur le territoire du Louvre, dans l’aile droite où se trouve le musée des arts décoratifs. C’était la première rencontre du public français avec les antiquités russes: icônes, objets religieux, broderie précieuse. Ainsi l’intérêt était suscité depuis longtemps. Et à présent plus de 400 œuvres d’art russe ancien seront présentées à l’exposition « Sainte Russie » en ce début de 21ème siècle, y compris les icônes des 14-17 siècles : les icônes de Théophane le grec, d’Andrei Roublev. Pour nous c’est le b.a.-ba, pour les connaisseurs d’art occidentaux c’est une innovation.

- Comment caractérisez-vous la coopération avec le musée du Louvre? Quelle attitude envers l’exposition "Sainte Russie" avez-vous ressenti?

-Ce n’est pas ma première expérience avec le Louvre. Je peux même faire un compliment aux partenaires français, ils sont très attentifs. Avec eux nous pouvons discuter de n’importe quels problèmes et nous trouvons toujours une solution qui convient aux deux parties. Nous nous comprenons parfaitement. Ils ont étudié en détail la période de l’histoire russe de "Sainte Russie", en plus les spécialistes français pouvaient choisir des pièces pour l’exposition et ils ont fait attention aux œuvres exceptionnelles. Plusieurs musées russes, comme le Musée Historique, ont exclu certaines pièces de l’exposition. Nous aussi, nous avons exposé quelques œuvres des musées français et personne ne nous les a jamais refusé. Par exemple on nous a donnés des affaires personnelles de Napoléon Bonaparte pour une exposition "Napoléon et Alexandre. Les Grands Empereurs d’Europe".

Le Président-directeur du Louvre Henri Loyrette est un grand amateur et connaisseur de l’histoire et de l’art russe. Cette exposition est due à l’initiative des collègues français, des représentants du musée le Louvre. Par exemple l’époque des guerres napoléoniennes était déjà bien connue. Il y a eu des expositions et des événements. Cette époque est plus proche et plus connue. Mais une question restait en suspend, comment était-elle, la Russie avant cette époque, avant l’influence de l’art occidental. C’est un honneur pour nous d’organiser une exposition russe de grande envergure à Paris dont les objets exposés sont uniques.

-Quels sont les œuvres les plus intéressantes pour les visiteurs du Louvre? Racontez-nous, s’il vous plaît, leurs origines?

-J’aimerais mettre en valeur des œuvres qu’on avait peur d’incorporer à l’exposition comme le châssis en or de la Trinité de Roublev, les portes en or de la ville de Souzdal, l’iconostase funèbre de la tsarine Sofia du couvent Novodievitchi, les lettres d’Ivan III, les lettres du concile œcuménique entérinant le patriarcat en Russie en 1590, l’icône des saints-martyrs Boris et Gleb du 14 siècle, des manuscrits uniques, par exemple les manuscrits de l’époque d’Ivan le Terrible dont il ne reste que 10 feuillets avec 16 mille miniatures créées durant dix longues années. 

Tous les conservateurs étaient inquiets des conditions de sécurité pendant le transport et l’exposition dans les salles du Louvre, ainsi que des conditions d’assurance. Je pense qu’on a pris une telle décision grâce aux relations amicales entre les deux Etats ainsi qu’entre les collègues de musées.

En tant que coordinatrice du projet j’ai été à Paris au Louvre et j’ai parcouru tous les endroits où les caisses seront déchargées et conservées, j’ai examiné les coffres, contrôlé l’emballage et désemballage des pièces uniques etc. Et je me suis assurée du respect des conditions de sécurité qui correspondent à nos demandes et aux normes techniques. Le retour des œuvres exposées est garanti par l’État.

-Envisagez-vous à l'avenir de poursuivre la coopération avec les musées de France en vue d’apprendre aux Français l’histoire et la culture russes?

- L’Année France-Russie est une sorte d’acompte d’Etat. Il y a un support économique et médiatique. Je suis sûre que l’exposition qui se tient dans le cadre de l’Année éveillera l’intérêt des Français à la culture russe et sera le premier pas dans le développement de la coopération entre les musées français et russes. En automne il y aura lieu une exposition à Moscou consacrée à l’époque de Napoléon. On aura des œuvres de Versailles, de Fontainebleau, du musée Carnavalet, du Musée de l’Armée, du Louvre. Bien qu’au départ je n’avais demandé aux collègues français que le "Sacre de Napoléon" de David. Mais on m’a expliqué que c’était un tableau de très grand format, que la question de son transport pouvait poser problème et puis on m’a demandé ce que j’allais faire avec. Mais on aura quand même une grande quantité d’œuvres de l’époque de Napoléon, une exposition complète.

Note de l'Editeur :
Depuis mercredi a débuté au Théatre Toursky à Marseille , c'est juste bas de chez-moi , le XVI ème Festival Russe .

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Rédigé par DanielB

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Publié le 29 Janvier 2010

http://www.france-russie2010.com/

http://russia-france2010.ru/images/18781/17/187811747.jpg


France-Russie: l'Année croisée a démarré
MOSCOU, 28 janvier - RIA Novosti
Le lancement de l'année croisée France-Russie a été marqué par cinq tables rondes qui se sont tenues les 25 et 26 janvier dans le cadre du forum des étudiants des deux pays au Centre de la Russie pour la science et la culture de Paris, a annoncé l'Agence fédérale russe Rossotrudnitchestvo, organisatrice du forum.

"Cinq tables rondes sur les thèmes "La politique publique dans le domaine de l’emploi", "Cette Europe où nous aimerions vivre", "Possibilités d’une participation élargie des universités russes et françaises aux programmes de la coopération scientifique et technique et à la mobilité académique", "Energies. Ecologie. Développement durable" et "Russie-France-Union Européenne" se sont tenues au Centre de la Russie pour la science et la culture (CRSC)  dans le cadre du forum des étudiants de Russie et de France", lit-on dans le communiqué de l'Agence.

Ayant réuni des centaines d'étudiants et les recteurs de 30 principaux établissements d'études supérieurs des deux pays, le forum à pour objectif d'aider la jeunesse russe et française à acquérir de nouveaux savoirs et à ouvrir la voie d'une meilleure compréhension mutuelle.

"A part les manifestations officielles, l'année croisée s'accompagnera de nombreuses activités organisées pour la jeunesse, telle que la fête de Maslenitsa (équivalent de Mardi gras) à Paris (semaine de crêpes célébrée la semaine précédant le Grand Carême orthodoxe, ndlr) accompagnée d'une kermesse et de danses. Au début de cette semaine, un concert de gala organisé dans le cadre du forum a réuni la jeunesse des deux pays dans un même élan de créativité. Nous estimons que tout cela est très important pour les buts que nos deux pays se sont fixés en lançant l'année croisée France-Russie ", a déclaré le président de Rossotrudnitchestvo Farit Moukhametchine cité dans le communiqué.

La cérémonie d'inauguration du forum a rassemblé le président de Rossotrudnitchestvo, l'ambassadeur de Russie en France, Alexander Orlov, le président du Conseil exécutif de l'UNESCO et la déléguée permanente de la Fédération de Russie auprès de l'UNESCO, Eleonora Mitrofanova.

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Rédigé par DanielB

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Publié le 26 Janvier 2010

Rédigé par DanielB

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Publié le 25 Janvier 2010

du mardi 24 Février 2010 au dimanche 14 mars 2010 au Théatre Toursky .

Réservations - Locations

Par téléphone au 0 820 300 033 :
- carte bleue : paiement à distance sécurisé
- chèque : le réglement doit parvenir impérativement au Théâtre 48 heures avant le spectacle.
Dans le cas contraire les réservations seront remises à la vente.

Par courrier au Théâtre Toursky :
16, promenade Léo Ferré - 13003 Marseille.
Joindre un chèque du montant correspondant ainsi qu'une enveloppe timbrée.

Au Théâtre :
Ouverture de la billetterie :
du lundi au vendredi de 10 h à 20 h
le samedi de 10 h à 21 h (les jours de spectacle uniquement)
Pendant la période des vacances scolaires, les horaires d’ouverture de la billetterie pourront être modifiés.

Par internet : www.toursky.org

Autres points de vente :
Espace Culture de Marseille, FNAC, Virgin, Auchan.

Pour tout renseignement complémentaire, vous pouvez contacter :

Service Administration :
- Administration :

mailto: administration@toursky.org
- Programmation et diffusion :

programmation@toursky.org

Service Communication :

communication@toursky.org
- Françoise DELVALEE, Directrice de la Communication, au 04 91 64 15 17.
- Presse : Serge ALEXANDRE, Attaché de presse, au 06 18 58 94 18,

alexandreserge@yahoo.fr

Service Billetterie :

billetterie@toursky.org , 0 820 300 033

Technique :

technique@toursky.org

Standard :

contact@toursky.org . 04 91 02 58 35.

 

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Rédigé par DanielB

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Publié le 14 Janvier 2010

PARIS, 14 janvier - RIA Novosti
Une exposition baptisée "Merveilles de la Russie" s'est ouverte lundi au siège de l'UNESCO à Paris, inaugurant le programme culturel de l'Année croisée Russie-France.

Organisée par le musée domanial de Kolomenskoïe (quartier de Moscou), l'exposition présente les photos du Palais de bois du tsar russe Alexis Romanov et du palais de Lioublino restaurés à Moscou.

Construit en 1667, le palais du tsar Alexis Romanov était considéré comme la huitième merveille du monde. L'empereur Pierre le Grand y a célébré sa victoire sur les Suédois à Poltava (Ukraine) en 1709. Le palais a été démoli sur l'ordre de l'impératrice Catherine II à la fin du XVIIIe siècle. Il a été reconstruit non loin de son ancien emplacement à Kolomenskoïe en 2009. Ce palais de 300 pièces a 3.000 fenêtres.

"Quand on nous a proposé de tenir une exposition à l'occasion de l'Année de la Russie en France, nous avons décidé de présenter toute la ville de Moscou. Nous souhaitons montrer comment Moscou préserve son patrimoine matériel et spirituel", a indiqué jeudi Lioudmila Kolesnikova, directrice du musée placé sous l'égide de l'UNESCO depuis octobre 2009.

Par ailleurs, les visiteurs de l'exposition peuvent voir deux icônes du XIXe siècle qu'un restaurateur dévernit au moyen de solvants spéciaux. "Nous travaillons actuellement sur une icône qui a été couverte d'huile de lin cuite très sombre. Nous ne pouvions même pas dire quels saints elle représente. Les couleurs primitives renaissent sous vos yeux", a déclaré Ekaterina Satel, chef du département du musée de Kolomenskoïe.

Des souvenirs russes sont mis en vente à l'entrée de l'exposition. Un sapin de Noël décoré à la russe se trouve dans une salle voisine.

Note de l'Editeur :
L'exposition se déroule jusqu'au 19 janvier 2010 au Siège de l'UNESCO , salles Miro et Salle des Pas perdus de 9h00 à 18h00 .

UNESCO
7, Place Fontenoy
75007 PARIS
Contacts (Souce UNESCO )
dl.russie@unesco-delegations.org
0142128430


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Rédigé par DanielB

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