Subversion écologiste : Comment contrer Greenpeace .
Publié le 22 Octobre 2011
" France 5 " a diffusé hier un documentaitre trés intéressant sur l'organisation écologiste Greenpeace qui nous permet de détecter certaines failles de l'organisation . Se voulant dithyrambique , il permet d'envisager certaines stratégies de contre-subversion :
- Greenpeace pour exister doit continuellement trouver une nouvelle " cause " : l'Antarctique , le démentélement des plateformes pétrolières en mer du Nord , les essais nucléaires Français dans le Pacifique , la chasse à la baleine , le " réchauffement global " , l'huile de palme dans les barres chocolatées ,.....
- Greenpeace ne dispose pas de l'expertise qu'on lui prête et commet des erreurs : Evaluation des hydrocarbures résiduels dans une plateforme Shell ® destinée à être désactivée .
- Greenpeace joue sur un acte de violence - ou supposé tel - de ses opposants pour créer l'évenement médiatique : Incident lors de l'occupation d'une plateforme désactivée en Mer du Nord .
- Greenpeace se doit d'être médiatiquement visible : Essais nucléaires Français dans le Pacifique ou l'intervention de la Marine Nationale a permis de tarir la source des images en provenance de Greenpeace .
- Greenpeace agit de plus en plus au travers du lobbying auprés des politiques .
- Greenpeace joue sur la " théorie des dominos " en s'attaquant au leader d'un secteur et en jouant sur le fait que les acteurs secondaires " capituleront " lorsque le leader aura " capitulé " : Huile de palme dans les barres chocolatées Kit-Kat ®
- Greenpeace doit surenchérir dans la violence des images pour créer le " buzz " sur internet .
La subversion est une action qui regroupe l'ensemble des moyens psychologiques ayant pour but le discrédit et la chute du pouvoir établi sur des territoires politiquement ou militairement convoités (Volkoff, 1986 ; Durandin, 1993). Elle vise à susciter un processus de dégénération de l'autorité pendant qu'un groupe désireux de prendre le pouvoir s'engagera dans une guerre "révolutionnaire" (Mucchieli, voir Volkoff, 1986).